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dimanche, 12 novembre 2006

P.A. [s]

P.A. [1] : Quelqu'un serait-il intéressé par une place de 1ère catégorie (60 euros) pour le concert que donneront Martha Argerich et Gidon Kremer le 1er décembre (Bartok, Schumann) à la salle Pleyel. Outre le plaisir d'assister à un très probable grand moment de musique, l'heureux acquéreur aura l'immense avantage d'être assis à côté de moi.

P.A. [2] : Ayant été lâchement abandonné pour le réveillon du jour de l'an, je suis preneur de toute proposition (honnête, cela va sans dire).

20:05 Publié dans Brève | Lien permanent | Commentaires (2)

Une image de Chartres par semaine (16) - Trois

Point de vue dit des trois chevets : Saint Pierre, Saint Aignan, Notre Dame.



Certes, vous allez me dire : "on ne voit pas le chevet de Notre Dame" ; mais je ne pouvais pas, avec mon modeste appareil numérique, prendre en même temps et les trois piliers, et les trois cônes, et les trois chevets...

jeudi, 09 novembre 2006

Éblogues

Avertissement liminaire : le présent billet risque de paraître particulièrement obscur aux lecteurs qui n'auraient pas assisté à l'interprétation par Renaud Camus de la quatrième églogue de Travers III (L'Amour l'Automne), hier soir au Centre Georges Pompidou, et/ou qui n'auraient pas connaissance du projet r-camusien desdites Eglogues.
Pour vous éclairer, et en attendant le compte-rendu que ne manquera pas de rédiger Madame de Véhesse (c'est ici et ), vous pouvez lire ce billet et celui-ci sur son blogue, ainsi que cette note de Zvezdo.

Je n'aime pas, et je ne sais pas rédiger des comptes-rendus, aussi je vais seulement livrer ici quelques impressions, sur le vif.

Quand Renaud Camus souffre des molaires, il chante sans doute des symphonies de Mahler (et sûrement la troisième, dite au paysage) (à moins que ce ne soit La Belle Meunière).

La mort est silencieuse, un si peu profond ruisseau, l'amour aussi, y compris en anglais.

Ce n'est pas que c'est laid Montbrison... LA VILLE DE MONT-BRISE FIT LA GUERRE A LA LIBERTE, ELLE N'EST PLUS. Montbrison, Montbrison, où se croisent tant des fils du texte qui m'écrit.

É-blogues, ex blogos, ex-traits du dis-cours sans césure, en nous, du virtuel et des mots.

Forez, prononcez Forè, Boul....

Dupin, Lupin, Lubin, Dupin, Duparc, certes. Mais Dusapin ?

Drrrring, pour finir quelques stupéfiantes révélations. Après le château de Plieux, le château de Ben More ?


L'île noire, et non l'île mystérieuse.



Etonnant, le faux-monnayeur est une lecteur de Travers (oui, c'est un faux monnayeur !).



De plus en plus stupéfiant, il se nomme Müller, Docteur J.W. Müller.


En vérité je vous le dis, la pierre angulaire de l'oeuvre de Renaud Camus, c'est Tintin. (Remember : Et Tristan Bior, on dira ce qu'on veut, c'est toujours Tristan Bior)

mardi, 07 novembre 2006

abc

La visite du bureau de Romain Rolland, conservé au sein du musée Zervos à Vézelay, m'a donné l'envie de m'intéresser à ses écrits, que j'avoue humblement ne jamais avoir lus - il en fut de même avec les romans de Mauriac après mon passage à Malagar. Avant, peut-être, d'escalader Jean-Christophe, j'ai d'abord été tenté par le Voyage intérieur. Hélas, Romain Rolland n'est guère disponible sur les étagères des librairies, qu'elles fussent réelles ou virtuelles.

Aussi, j'ai fait l'acquisition d'un exemplaire d'occasion dudit Voyage, dans son édition de 1959 parue chez Albin Michel.

Un précédent propriétaire de l'ouvrage en a manifestement commencé la lecture, mais celle-ci s'est arrêtée à la page 168 : les pages suivantes ne sont plus coupées, et un signet marque l'interruption.

Pour votre édification, je vous propose l'envers et l'endroit de ce marque-page, pour le cas où vous souhaiteriez acquérir une forte personnalité qui vous classe nettement au dessus de votre entourage, ou trouver le bonheur en devenant un artiste.




dimanche, 05 novembre 2006

Une image de Chartres par semaine (15) - Gargouilles

Cathédrale de Chartres, juin 2006, temps froid et gris





Les gargouilles et autres motifs à vocation essentiellement fonctionnelle furent probablement les seules sculptures pour lesquelles les artistes avaient une certaine marge de liberté.