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vendredi, 31 décembre 2010

Rébu[s]





vendredi, 01 janvier 2010

2010

Solchs singet heut ohn Scherzen
Die christgläubige Schar
Und wünscht mit Mund und Herzen
Ein seligs neues Jahr
(Choral final de la cantate BWV 41 Jesu, nun sei gepreiset, composée pour le nouvel an 1725)

Parce que, même si l'année prochaine sera placée à l'évidence sous le signe de Chopin, comment mieux commencer une nouvelle année que sous les auspices de Bach...









Une bonne et heureuse année à tous, mit Mund und Herz !



mardi, 22 septembre 2009

Dernières perles

La disparition de figures familières du monde culturel est un des amers les plus marquants de l’avancée inexorable du temps qui passe, emprunt de nostalgie, et de regrets, parfois. Je pense évidemment en premier lieu à Claude Maupomé, dont j’ai parlé ici.


Pour l'heure, c’est la nostalgie qui domine à l’annonce du décès, hier, à l’âge de 78 ans d’Edmée Santy, talentueuse chroniqueuse du Provençal pendant quarante ans ; nostalgie pour ses articles sur le vif, d’une plume alerte, d’une liberté de ton sans mauvaise foi, ni rancœurs personnelles, nostalgie pour mes années marseillaises, nostalgie pour une sorte d’âge d’or disparu de l’Opéra de Marseille…





Vous trouverez un recueil des merveilleuses perles d’Edmée dans cette note rédigée il y a plus de deux ans.

vendredi, 02 janvier 2009

2009



Cliquez sur l'image pour la voir en plus grand


Image de bonne année réalisée à partir de l'abécédaire eurélien labyrinthe-sillon-boustrophédon du jardin des archives départementales d'Eure-et-Loir.

mardi, 01 janvier 2008

Jauchzet, frohlocket auf, preiset die Neujahrstage




Bonne année 2008, pleine de musiques et de vitraux.


lundi, 01 janvier 2007

2007

Janvier aux trois visages vous souhaite une bonne année 2007.


Vitrail du zodiaque et des travaux des mois (détail)
Cathédrale de Chartres

mercredi, 19 juillet 2006

De l’expérience, des diplômes et du modèle social français

L’autre jour, je lisais le Moniteur qui, dans une brève, annonçait la composition de la nouvelle équipe dirigeante d’une entreprise quelconque. Quelle caractéristique était mise en avant dans le portrait de chacun de ces hommes ? Je vous le donne en mille : le diplôme. Quel est l’intérêt pour les lecteurs de savoir que le président du conseil de surveillance à la soixantaine bien sonnée est sorti de l’école centrale de Paris dans les années 1950 ? Que lui apporte ce diplôme dans ces fonctions actuelles, si ce n’est un carnet d’adresses bien rempli par une tradition ancestrale de copinage tellement française ?
Malheureusement, notre modèle social français que le mondentier nous envie est couramment producteur de ce genre de comportement, où des années d’expérience sont comptées pour quantité négligeable face à un sacro-saint diplôme.
Que pendant dix ans vous ayez exercé des fonctions qui correspondent parfaitement au profil recherché par une entreprise, tout le monde s’en fiche si vous n’avez pas la Miraculeuse Licence (n’importe laquelle d’ailleurs) imposée (par qui ?). C’est la Goutte de Sang du Morceau de la Vraie Croix.


Je m’énerve, je m’énerve, mais c’est une situation qui, bien qu’indirectement, me touche de très près.
On n’est pas sorti de l’auberge.

mercredi, 25 janvier 2006

Mais que diable...

... allait-il faire dans cette galère.

Oui, je sais, ce n'est ni Char, ni Bonnefoy, ni Nerval, ni Jouve, ni Mallarmé, mais cela reflète assez bien mon état d'esprit.

samedi, 31 décembre 2005

Leçons de ténèbres

Si j'avais eu le temps, je vous aurais proposé une fin d'année 2005 en forme de leçons de ténèbres inspirée par le Georges de La Tour de Pascal Quignard.
Peut-être la semaine prochaine !

Bon bout d'an, bonnes fêtes, et bonne année !

samedi, 17 décembre 2005

Abschied

J'ai sacrifié, bien sûr, à la tradition du pot de départ. Je dois avouer que je fus plus ému que je ne l'aurais pensé, et souhaité.
Je n'aurais pas dû, évidemment, en guise de conclusion à mon bref discours, lire les dernières lignes de Songe de Pierre-Jean Jouve, fétiche personnel trop puissant !
Pour sécher les larmes, le nectar des rives du Ciron et celui des coteaux de Pauillac suffiront certainement.