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jeudi, 09 novembre 2006

Éblogues

Avertissement liminaire : le présent billet risque de paraître particulièrement obscur aux lecteurs qui n'auraient pas assisté à l'interprétation par Renaud Camus de la quatrième églogue de Travers III (L'Amour l'Automne), hier soir au Centre Georges Pompidou, et/ou qui n'auraient pas connaissance du projet r-camusien desdites Eglogues.
Pour vous éclairer, et en attendant le compte-rendu que ne manquera pas de rédiger Madame de Véhesse (c'est ici et ), vous pouvez lire ce billet et celui-ci sur son blogue, ainsi que cette note de Zvezdo.

Je n'aime pas, et je ne sais pas rédiger des comptes-rendus, aussi je vais seulement livrer ici quelques impressions, sur le vif.

Quand Renaud Camus souffre des molaires, il chante sans doute des symphonies de Mahler (et sûrement la troisième, dite au paysage) (à moins que ce ne soit La Belle Meunière).

La mort est silencieuse, un si peu profond ruisseau, l'amour aussi, y compris en anglais.

Ce n'est pas que c'est laid Montbrison... LA VILLE DE MONT-BRISE FIT LA GUERRE A LA LIBERTE, ELLE N'EST PLUS. Montbrison, Montbrison, où se croisent tant des fils du texte qui m'écrit.

É-blogues, ex blogos, ex-traits du dis-cours sans césure, en nous, du virtuel et des mots.

Forez, prononcez Forè, Boul....

Dupin, Lupin, Lubin, Dupin, Duparc, certes. Mais Dusapin ?

Drrrring, pour finir quelques stupéfiantes révélations. Après le château de Plieux, le château de Ben More ?


L'île noire, et non l'île mystérieuse.



Etonnant, le faux-monnayeur est une lecteur de Travers (oui, c'est un faux monnayeur !).



De plus en plus stupéfiant, il se nomme Müller, Docteur J.W. Müller.


En vérité je vous le dis, la pierre angulaire de l'oeuvre de Renaud Camus, c'est Tintin. (Remember : Et Tristan Bior, on dira ce qu'on veut, c'est toujours Tristan Bior)

Commentaires

Je confirme que, n'ayant pas assisté à la lecture en quesiton, et ne connaissant rien de l'oeuvre de Renaud Camus, ce billet m'est "particulièrement obscur"...

Écrit par : L'Amateur | jeudi, 09 novembre 2006

et vous avez fait le voyage de Chartres !
Et j'étale ma science modeste parce que celui-là je suis sûr que peu le connaisse, et suis surpris que RC en ait parlé, ce ne doit pas être son pain quotidien : "le maître est là", "Augustin", il l'a précisé : de Joseph Malègue (cf: http://s.huet.free.fr/dialektos/folio/jomal.htm), ce devait être dans les bibliothèques familiales des années cinquante.
Hier donc, le maître était là !

Écrit par : patrick | jeudi, 09 novembre 2006

bravo pour le titre (comme d'hab)....

Écrit par : zvezdo | vendredi, 10 novembre 2006

Bravo, très bon! (RG ou R-G: encore un double, ça marche!)
(Tiens, la troisième, je pensais que Zvedo avait dit la quatrième).

>Patrick : merci beaucoup, je n'avais pas noté. RC dit souvent qu'il a grandi dans la bibliothèque de ses grands-parents, pauvreté oblige, ce qui lui permit des années plus tard d'avoir de nombreuses références communes avec Jean Puyaubert.

Écrit par : VS | vendredi, 10 novembre 2006

Je n'y étais pas, mais je sens que je vais quand même écrire un compte rendu de cette soirée !

Écrit par : MuMM | samedi, 11 novembre 2006

Bravo pour le titre (bis)

Écrit par : selian | dimanche, 12 novembre 2006