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mardi, 07 novembre 2006

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La visite du bureau de Romain Rolland, conservé au sein du musée Zervos à Vézelay, m'a donné l'envie de m'intéresser à ses écrits, que j'avoue humblement ne jamais avoir lus - il en fut de même avec les romans de Mauriac après mon passage à Malagar. Avant, peut-être, d'escalader Jean-Christophe, j'ai d'abord été tenté par le Voyage intérieur. Hélas, Romain Rolland n'est guère disponible sur les étagères des librairies, qu'elles fussent réelles ou virtuelles.

Aussi, j'ai fait l'acquisition d'un exemplaire d'occasion dudit Voyage, dans son édition de 1959 parue chez Albin Michel.

Un précédent propriétaire de l'ouvrage en a manifestement commencé la lecture, mais celle-ci s'est arrêtée à la page 168 : les pages suivantes ne sont plus coupées, et un signet marque l'interruption.

Pour votre édification, je vous propose l'envers et l'endroit de ce marque-page, pour le cas où vous souhaiteriez acquérir une forte personnalité qui vous classe nettement au dessus de votre entourage, ou trouver le bonheur en devenant un artiste.




Commentaires

Cela me dirait bien, à moi, que mes élèves arrêtent de rire quand je griffonne au tableau ou de plisser leurs nez en me demandant ce que j'ai bien pu représenter.
Alors je suis d'accord pour pouvoir moi aussi organiser au tableau noir une exposition et devenir quelqu'un (parce que malgré tout c'est classe une maîtresse qui sait dessiner ...) ! : )
Mais je crois qu'il y a vraiment trop de travail : publicité mensongère !!!

Écrit par : Dom | mardi, 07 novembre 2006

C'est Muriel Robin déguisée en Marie Besnard qui a posé pour la photo..

Écrit par : rph | jeudi, 09 novembre 2006

Et toi es-tu allé au-delà de la page 168 ?

Écrit par : fuligineuse | samedi, 11 novembre 2006

Fuli, je n'en ai pas commencé la lecture.

Écrit par : Philippe[s] | lundi, 20 novembre 2006

Je me souviens de cette publicité ; elle était glissée dans les livres que l'on achetait, les éditions de poche, surtout. Quand j'étais adolescent, à Montréal, je m'amusais à faire venir leur documentation pour le plaisir de recevoir du courrier de Paris (et aussi parce que le monde des lettres était pour moi fascinant).

Écrit par : Alcib | lundi, 27 novembre 2006