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jeudi, 08 juin 2006

At the Tate Modern


Il appert de la lecture de la chronologie Le Jour ni l'Heure, que le 1er mai 2005 Renaud Camus et moi (ainsi que Pierre J. et Ph.) avons visité ensemble (ou plus exactement, en même temps) la Tate Modern à Londres.


Commentaires

Un billet qui n'a rien à voir avec le 1º mai, simplement t'informer d'un livre sur une Ville qui semble te plaire, "Les turbans de Venise", par Nedim Gürsel, ou les tribulations d'un historien d'art stambouliote à la recherche des traces ottomanes dans les oeuvres des Bellini. Me réjouis de ton retour.

Écrit par : selian | jeudi, 08 juin 2006

sur votre amour de renaud camus: les récentes déclarations de son arti politique

"Candidature de Renaud Camus à la présidence de la République


L'écrivain Renaud Camus, auteur de "Du sens" et président du parti de l'In-nocence, déclare officiellement son intention, si son nom réunit le nombre nécessaire de signatures d'élus, d'être candidat lors de la prochaine élection à la présidence de la République. "
"Le parti de l'In-nocence déplore la nouvelle loi présentée par le ministre de l'Intérieur à propos de l'immigration, et qui prétend favoriser une immigration "choisie".
Le parti de l'In-nocence rappelle qu'il préconise pour sa part que l'immigration soit aussi limitée que possible, et réduite au seul "droit d'asile", dans son application la plus stricte et la mieux contrôlée : si choix politique il y a, il est de sa part - compte tenu de la situation sociale et culturelle de notre pays, et de l'évolution des rapports entre les communautés diverses - en faveur d'une cessation presque totale de toute immigration supplémentaire.
Le parti de l'In-nocence s'inquiète très vivement d'autre part des conséquences désastreuses qu'aura immanquablement une immigration "choisie", en notre pays, sur les pays d'origine de cette immigration, lesquels se verront privés des élites qui leur sont le plus nécessaire.
Le parti de l'In-nocence rappelle qu'il est partisan d'un fort accroissement, assorti d'un meilleur contrôle, de l'aide économique, scientifique, juridique, technique et culturelle aux pays en voie de développement : il souhaite leur enrichissement et désire que la France et la Communauté européenne y contribuent, plutôt qu'à leur appauvrissement au contraire, en biens, en hommes ou en femmes."
"Le parti de l'In-nocence se prononce en faveur d'un rassemblement, à l'occasion des prochaines élections présidentielles, de tous ceux qui sont disposés à tout faire, dans les limites des lois, de la morale et de l'honneur, pour tâcher d'empêcher l'effacement définitif de notre pays et de notre peuple, de notre culture et de notre civilisation.



Le parti de l'In-nocence voit en effet dans ce rassemblement infiniment souhaitable de tous les Français attachés à la France et à ses caractères distinctifs l'ultime chance de retenir notre pays du bord du gouffre multiculturaliste et omniethnique où il risque de disparaître d'une année à l'autre, peut-être au seul profit - à plus court terme qu'on ne l'imagine - d'une autre culture et d'une autre civilisation, voire d'une autre langue.

Le parti de l'In-nocence prend bonne note de l'appel récent de M. Jean-Marie Le Pen à un tel rassemblement, si éminemment nécessaire. Mais il estime que ce rassemblement ne saurait en aucune façon s'opérer sous la bannière et au profit du président du Front national, lequel constitue au contraire le principal obstacle à la réalisation de pareil objectif, lui dont le passé et la personnalité rendent absolument impossibles des millions d'indispensables ralliements.

Le parti de l'In-nocence juge donc que M. Jean-Marie Le Pen donnerait une preuve de patriotisme et de sens politique, en un moment si grave et peut-être ultime pour notre pays, en se retirant au bénéfice d'une figure mieux à même de fédérer largement les volontés de sursaut et de salvation."




Ou comment Renaud Camus, mégalomane graphomane est à l'extrème de toute les droites, en arguant, par exemple, (à raison) que Le Pen fait du tort a ses idées, que Sarkozy est trop souple avec l'immigration, et se voit sans ridicule candidat de l'extrème droite homosexuelle aux prochaines élections.
Plutôt que de rêver devant le chateau de Plieux, esclave devant le maître, essayez de penser à tout ça, à la tentation des homosexuels à aimer le même et en refusant l'autre, à la vieille amitié des homosexuels avec l'ordre, la loi, et le fascisme.

Écrit par : questions | mardi, 13 juin 2006

On pourrait aussi rêver d'un monde où chacun assumerait ses opinions -comme l'a toujours fait avec courage Renaud Camus- et ne s'abriterait pas derrière un lâche anonymat pour se lancer dans de pitoyables diatribes.

Écrit par : Serge Filippi | jeudi, 15 juin 2006

Je crois que l'anonymat n'est pas un problème en soi sur les forums et dans les blogues. Il n'y a pas de contrôle d'identité à l'entrée, je suis moi-même ici de façon anonyme (si l'on entend par là ne pas utiliser son état civil) ; en revanche, j'ai une identité blogosphérique ("Philippe[s]") que j'utilise de façon exclusive, et je n'use jamais de l'usurpation de l'identité d'un autre internaute. Il ne me semble pas qu'il faille avoir d'autres exigences.
Mais, si l'occasion se présente de rencontrer des blogueurs ou de correspondre avec eux, j'utilise évidemment alors mon nom.

Je ne me sens pas obligé de répondre à tous les commentateurs qui émettent des opinions contraires aux miennes, ou qui me prêtent des idées que je n'ai pas. Je ne souhaite pas que les commentaires se transforment en forum, car en fait, je n'apprécie guère les forums, lieu de toutes les incompréhensions et de tous les faux débats.
D'autre part, je ne supprime pas les commentaires qui me déplaisent, sauf évidemment s'ils dépassent les bornes (ce qui est éminemment subjectif, je le concède)

Pour en revenir à Renaud Camus et au commentaire de "questions", plusieurs remarques:
- je ne me sens pas la vocation de chevalier servant, défenseur de Renaud Camus en toute occasion : je ne partage pas toutes ses idées, il se défend très bien tout seul, je ne suis pas adhérent au parti de l'In-nocence, je trouve passablement ridicule l'attitude de groupie (quelque soit l'idole que l'on admire).
- ce que j'aime, c'est l'écrivain, son style, son art de décrire la lumière et les paysages, de parler de peinture, son amour de la culture française dans son sens le plus classique, avec ce qu'il peut y avoir de conservatisme.
- d'un autre côté, je ne vois pas pourquoi je devrais me justifier d'aimer l'oeuvre r-camusienne en expliquant par le menu en quoi je ne suis pas d'accord avec l'homme politique r-camusien
- enfin, quel intérêt y a-t-il à relever les clichés, les outrances et les amalgames de M. "questions" (par exemple assimiler l'ordre, la loi et le fascisme), alors qu'il ne s'agit à l'évidence que d'une tentative de provoquer une polémique stérile.

Écrit par : Philippe[s] | mercredi, 28 juin 2006

Je me contente de réagir, fort tardivement, à la note, et surtout pas aux commentaires de M. "Questions" :

... Coïncidence ...
... ! ...
... Il reste à inventer le logiciel qui permettra le croisement automatique des billets de blogueurs camusophiles et de la page "Le Jour ni l'Heure" ...

Écrit par : Guillaume Cingal | vendredi, 30 juin 2006