samedi, 10 novembre 2007
Vélo à tous les étages
A Eindhoven, il n'y a ni Vélib, ni Vélov, ni aucune autre élucubration technologico-technocratico-mobilierurbanico-municipale, mais il y a, comme dans tous les Pays-Bas, des vélos dans les rues, des pistes cyclables utilisées par des vélos, des endroits où stationner son vélo, des automobilistes qui, contraints et forcés, respectent les vélos...
...et des boutiques qui vendent des vélos sur trois étages.
Eindhoven - Octobre 2007
...et des boutiques qui vendent des vélos sur trois étages.
Eindhoven - Octobre 2007
18:15 Publié dans Images sans prétention | Lien permanent | Commentaires (3)
mardi, 06 novembre 2007
Une image de Chartres de temps en temps (56) - Fête de la lumière 2007 (2)
Photos floues promises, photos floues dues.
Quoique je sois très peu favorable aux illuminations colorées qui fleurissent un peu partout dans les villes françaises (je suis même assez peu favorable au simple éclairement nocturne des bâtiments), je suis bien obligé de reconnaître que Chartres en lumières, et la Fête de la lumière, qui en constitue son apogée fin septembre, sont d’une qualité certaine.
Certes, il y a nombre de projections relevant du simple barbouillage, ou de la pure tautologie. Je ne vois en effet vraiment pas l’intérêt d’utiliser une façade d’église en tant que simple écran pour afficher une peinture ou un vitrail.
Mais à côté de cela, beaucoup d’idées sont très belles, voire poétiques. Ce sont elles qui sont naturellement les plus difficiles à rendre !
Façade occidentale de la cathédrale
Théâtre de Chartres
Médiathèque (ancien hôtel des Postes)
Eglise Saint Pierre
Hôtel de Montescot (hôtel de ville)
Les bords de l'Eure
Lavoirs au bord de lEure
Jardins de l'ancien évêché
Chartres en lumières - Fête de la lumière - 22 septembre 2007
21:05 Publié dans Les lumières de Chartres, Une image de Chartres | Lien permanent | Commentaires (2)
samedi, 03 novembre 2007
Séances de rattrapage
La caractéristique principale de l’esprit d’escalier n’étant pas la réactivité, je n’aurai guère de scrupules à vous proposer dans les prochains jours quelques notes parfaitement inactuelles (s’agissant de mon actualité, et de l’actualité culturelle), sous forme de séances de rattrapage, avant une probable nouvelle interruption en raison d’une traversée de transept avec armes et bagages.
17:23 Publié dans Brève, Noosphérique | Lien permanent | Commentaires (1)
vendredi, 02 novembre 2007
Abs[traction] ? Abs[urdité] !
Ce matin, par la grâce de Sylvie Valayre et, surtout, par celle de Franck Ferrari, France Musique s’était muée en Rires et Chansons.
Cependant, ce n’est pas cela qui m’a fait bondir dans ma salle de bain, mais la recension, dans la revue de presse, de l’article du Nouvel Observateur consacré par Jacques Drillon à deux interprètes des Variations Goldberg (Zhu Xiao-Mei et Simone Dinnerstein).
Je suis retourné à la source pour vous livrer cette perle de la plus belle eau, malheureusement ressortissant aux clichés les plus éculés :
« Elle [Simone Dinnerstein] laisse passer des sentiments qui semblaient étrangers à cette musique, la plus abstraite du monde : la tristesse, la tendresse, et même la compassion. »
(c’est moi qui souligne)
Je pense qu’il faut être sourd, et fort sot, pour confondre ainsi la prodigieuse intelligence et la complexité de la construction de l’œuvre avec une quelconque abstraction (de façon générale, à part dans l'Art de la Fugue, et encore, Bach est vraiment très loin de toute abstraction).
L’écoute, par exemple, de la variation 25, si sensible, si frémissante, si tendre et douloureuse à la fois suffit, s’il en était besoin, à dissiper l’image d’un pur esprit imaginant in abstracto de savantes constructions musicales théoriques.
Variation Goldberg XXV par Tatiana Nikolaeva (Live in Stockholm)
Cependant, ce n’est pas cela qui m’a fait bondir dans ma salle de bain, mais la recension, dans la revue de presse, de l’article du Nouvel Observateur consacré par Jacques Drillon à deux interprètes des Variations Goldberg (Zhu Xiao-Mei et Simone Dinnerstein).
Je suis retourné à la source pour vous livrer cette perle de la plus belle eau, malheureusement ressortissant aux clichés les plus éculés :
« Elle [Simone Dinnerstein] laisse passer des sentiments qui semblaient étrangers à cette musique, la plus abstraite du monde : la tristesse, la tendresse, et même la compassion. »
(c’est moi qui souligne)
Je pense qu’il faut être sourd, et fort sot, pour confondre ainsi la prodigieuse intelligence et la complexité de la construction de l’œuvre avec une quelconque abstraction (de façon générale, à part dans l'Art de la Fugue, et encore, Bach est vraiment très loin de toute abstraction).
L’écoute, par exemple, de la variation 25, si sensible, si frémissante, si tendre et douloureuse à la fois suffit, s’il en était besoin, à dissiper l’image d’un pur esprit imaginant in abstracto de savantes constructions musicales théoriques.
Variation Goldberg XXV par Tatiana Nikolaeva (Live in Stockholm)
15:20 Publié dans Bach | Lien permanent | Commentaires (1)
jeudi, 01 novembre 2007
Excuses, raisons, échappatoires, motifs, circonstances atténuantes, justifications, allégations, mobiles, causes, légitimes défenses, origines, prétextes, et autres fariboles et billevesées
et cela ne va pas s'arranger avec le prochain déménagement.
21:15 | Lien permanent | Commentaires (6)