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jeudi, 30 novembre 2006
A Montparnasse, sur le TRGV.
19:35 Publié dans Brève | Lien permanent | Commentaires (3)
dimanche, 26 novembre 2006
Une image de Chartres par semaine (18) - Elément d'architecture sur fond de ciel gris
Cliché antidaté, tiré de mes archives à la demande expresse de Madame de Véhesse.
19:15 Publié dans Une image de Chartres | Lien permanent | Commentaires (2)
dimanche, 19 novembre 2006
Une image de Chartres par semaine (17) - Double vue
Les bandeaux rouges annoncent la nouvelle manifestation (je n'ose écrire exposition) du Musée dit des Beaux-Arts : L'Histoire de Chartres en Playmobil. Personne ne pourra accuser le conservateur d'élitisme.
12:45 Publié dans Une image de Chartres | Lien permanent | Commentaires (14)
mardi, 14 novembre 2006
Caubère - Scène 1 - Première prise - Clap
Pour mes lecteurs qui ne sauraient pas de quoi il retourne, Philippe Caubère a un site et cette page notamment explique sa démarche.
Autobiographie théâtrale, comique et fantastique, tout est dit dans le sous-titre, y compris les écueils qui guettent l'acteur, auteur de sa propre vie et de celle de ses proches - vertigineux abîme où mère, acteur, fils et auteur s'interpellent les uns les autres.
Car écueils il y a, me semble-t-il : risque d'un auto-enfermement de l'acteur et de l'auteur dans l'autobiographie (après/avant l'Homme qui danse, le Roman d'un acteur), risque d'un étiquetage par le système théâtral (les directeurs d'institutions, les producteurs, la critique...) et les spectateurs. Il est frappant de constater que les autobiographies caubèriennes ont généré de véritables groupies, d'une part, et que d'autre part, une partie des spectateurs est venue uniquement pour l'aspect comique du spectacle, ce qui est un contre-sens absolu.
Plus profondément, la force du Théâtre tient beaucoup à l'écart entre l'acteur et son texte, la distance entre le personnage et l'interprète. L'on n'est pas loin, dans l'Homme qui danse, de l'abolition de cet écart et de cette distance ; et c'est là tout le talent phénoménal de Philippe Caubère d'arriver à maintenir présent le caractère théâtral de son oeuvre, par l'exagération, le regard parfois ironique et cruel, les effets de miroir...
Cette gigantesque entreprise autobiographique présente aussi le risque d'être autodestructrice : j'ai pensé à Renaud Camus, à son Journal et au dilemne du diariste - pour écrire, il faut vivre ; mais écrire empêche de vivre - ainsi qu'à cette nouvelle de Borgès (dont j'ai oublié le titre) dans laquelle un personnage qui n'oublie rien est incapable de vivre - la vie, c'est l'oubli.
Aussi je suis très heureux d'avoir vu Philippe Caubère, avant l'Homme qui danse, dans Recouvre-le de lumière, sur un autre registre, et avec les mots d'un autre (superbe texte d’Alain Montcouquiol).
J'attends avec impatience les prochains épisodes.
21:30 Publié dans Vu, lu, entendu | Lien permanent | Commentaires (3)
dimanche, 12 novembre 2006
P.A. [s]
P.A. [2] : Ayant été lâchement abandonné pour le réveillon du jour de l'an, je suis preneur de toute proposition (honnête, cela va sans dire).
20:05 Publié dans Brève | Lien permanent | Commentaires (2)
Une image de Chartres par semaine (16) - Trois
Certes, vous allez me dire : "on ne voit pas le chevet de Notre Dame" ; mais je ne pouvais pas, avec mon modeste appareil numérique, prendre en même temps et les trois piliers, et les trois cônes, et les trois chevets...
10:55 Publié dans Une image de Chartres | Lien permanent | Commentaires (4)
jeudi, 09 novembre 2006
Éblogues
Pour vous éclairer, et en attendant le compte-rendu que ne manquera pas de rédiger Madame de Véhesse (c'est ici et là), vous pouvez lire ce billet et celui-ci sur son blogue, ainsi que cette note de Zvezdo.
Je n'aime pas, et je ne sais pas rédiger des comptes-rendus, aussi je vais seulement livrer ici quelques impressions, sur le vif.
Quand Renaud Camus souffre des molaires, il chante sans doute des symphonies de Mahler (et sûrement la troisième, dite au paysage) (à moins que ce ne soit La Belle Meunière).
La mort est silencieuse, un si peu profond ruisseau, l'amour aussi, y compris en anglais.
Ce n'est pas que c'est laid Montbrison... LA VILLE DE MONT-BRISE FIT LA GUERRE A LA LIBERTE, ELLE N'EST PLUS. Montbrison, Montbrison, où se croisent tant des fils du texte qui m'écrit.
É-blogues, ex blogos, ex-traits du dis-cours sans césure, en nous, du virtuel et des mots.
Forez, prononcez Forè, Boul....
Dupin, Lupin, Lubin, Dupin, Duparc, certes. Mais Dusapin ?
Drrrring, pour finir quelques stupéfiantes révélations. Après le château de Plieux, le château de Ben More ?
L'île noire, et non l'île mystérieuse.
Etonnant, le faux-monnayeur est une lecteur de Travers (oui, c'est un faux monnayeur !).
De plus en plus stupéfiant, il se nomme Müller, Docteur J.W. Müller.
En vérité je vous le dis, la pierre angulaire de l'oeuvre de Renaud Camus, c'est Tintin. (Remember : Et Tristan Bior, on dira ce qu'on veut, c'est toujours Tristan Bior)
21:35 Publié dans Renaud Camus | Lien permanent | Commentaires (6)
mardi, 07 novembre 2006
abc
Aussi, j'ai fait l'acquisition d'un exemplaire d'occasion dudit Voyage, dans son édition de 1959 parue chez Albin Michel.
Un précédent propriétaire de l'ouvrage en a manifestement commencé la lecture, mais celle-ci s'est arrêtée à la page 168 : les pages suivantes ne sont plus coupées, et un signet marque l'interruption.
Pour votre édification, je vous propose l'envers et l'endroit de ce marque-page, pour le cas où vous souhaiteriez acquérir une forte personnalité qui vous classe nettement au dessus de votre entourage, ou trouver le bonheur en devenant un artiste.
20:45 Publié dans Jeux et choses sans importance | Lien permanent | Commentaires (5)
dimanche, 05 novembre 2006
Une image de Chartres par semaine (15) - Gargouilles
Les gargouilles et autres motifs à vocation essentiellement fonctionnelle furent probablement les seules sculptures pour lesquelles les artistes avaient une certaine marge de liberté.
10:50 Publié dans Une image de Chartres | Lien permanent | Commentaires (6)
jeudi, 02 novembre 2006
Le Pape en HO
Vous êtes sans doute informés de la nationalité du pape Benoît XVI. Vous ne serez donc pas étonnés outre mesure que Preiser commercialise une figurine du souverain pontife, et Vollmer une miniature de sa maison natale !
13:55 Publié dans Jeux et choses sans importance | Lien permanent | Commentaires (9)