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samedi, 30 août 2008

L'Eure exquise

Pour ajouter à la collection de fenêtres :




Château de Maintenon


mardi, 26 août 2008

A deux mains

Depuis quelques années, la ville de Saint Etienne, ses édiles et ses habitants, commencent à prendre conscience de la valeur du patrimoine bâti stéphanois, des XIXe et des XXe siècles pour l’essentiel. Il paraît évident que l’achèvement de l’église Saint-Pierre de Firminy, dont les plans (ou les esquisses) sont dus à Le Corbusier, et la mise en valeur de l’ensemble exceptionnel réalisé par celui-ci à Firminy-Vert (maison de la culture, stade, unité d’habitation), n’y sont certainement pas pour rien.

C’est ainsi qu’à l’occasion d’importantes opérations d’aménagement et d’urbanisme, l’architecte et urbaniste Pierre-Antoine Dalgabio (à qui l’ont doit, au début du XIXe siècle, la trame viaire encore en vigueur, ainsi que l’Hôtel de ville) est redevenu d’actualité, et les noms de Léon Lamaizière (pour l’architecture éclectique) et d’Auguste Bossu (pour l’architecture moderne) ne sont plus inconnus localement.


Immeuble dans le style de Léon Lamaizière

Ce dernier me paraît particulièrement intéressant car, au delà de sa fameuse maison sans escaliers, il a fondé avec François Clermont la Société des immeubles par étage, qui visait, dans l’entre-deux-guerres, à promouvoir la copropriété dans des constructions à coût modéré, équipés des éléments de confort moderne de l’époque, et dans un vocabulaire architectural (béton, simplicité des façades, organisation des appartements) proche, somme toute, de certains concepts du Corbusier.


L’Immeuble moderne en est le plus parfait archétype (et en totale opposition au style de Léon Lamaizière).


L'Immeuble moderne d'Auguste Bossu

Il est pourtant un bâtiment qui semble avoir échappé à l’attention générale, alors qu’il est à bien des égards emblématique. En effet, j’ai eu toutes les peines du monde à trouver les noms des architectes de la Maison de la Culture et de la Communication, que j’ai fini par dénicher sur le site de la maison de l’architecture Rhône-Alpes, à la rubrique Patrimoine du XXe siècle en Rhône-Alpes. Il s’agit donc de Alfred Ferraz, Lucien Seignol, Henry et Yves Gouyon.
Non pas que la MCC soit une œuvre particulièrement géniale, mais elle marque tout de même le paysage local, son toit étant visible de nombreux endroits.


De plus elle offre, depuis son parvis un point de vue significatif sur la ville et son passé minier.


La ville, le puits Couriot et les crassiers

D’autre part, le fameux toit est devenu le symbole de l’Opéra-théâtre de Saint-Etienne.



Enfin (dois-je avouer que cette note n’est qu’un prétexte à publier les photos suivantes ?), l’entrée de service est protégée par un paravent en béton décoré d’un ensemble d’empreintes, dans lesquelles s’insèrent parfaitement les mains du Croquis de côté.





Tout cela mériterait bien une meilleure mise en valeur !

vendredi, 09 mai 2008

Trente ans après (2) (huit mois après)

Séance de rattrapage (3).



Or donc, à la mi-août, nous avons visité, trente ans après en ce qui me concerne, plusieurs bâtiments dûs à Le Corbusier dans les environs de Saint-Etienne.
J'avais promis quelques impressions de visite, les voici, huit mois après (c'est un peu tard, mea culpa, mais j'aime bien les photographies que j’ai ramenées).

Contrairement aux idées reçues, ce qui frappe le visiteur un tant soit peu attentif, c’est tout d’abord la prise en compte et le respect du lieu (sa topographie, son exposition) dans l’élaboration de l’architecture corbuséenne des bâtiments, et un soin maniaque à adapter le plan à l’usage projeté, non pas en écoutant simplement les souhaits immédiats du commanditaire, mais en les sublimant au-delà des contingences matérielles.
Cela présente évidemment deux écueils, le premier étant une difficulté à absorber les évolutions temporelles de ces usages, et le deuxième une manifeste dérive totalitaire (par exemple, la hauteur importante des marches du couvent de la Tourette a dû être bien pénible aux vieux moines, peu sensibles à la symbolique de l’effort de l’ascension).
Mais la première qualité d’un architecture n’est elle pas d’élever l’homme au dessus de lui-même ?

Cependant, c’est surtout la lumière, et en particulier la lumière colorée, qui m’a émerveillé ; et c’est la lumière qui est l’objet unique des images que je vous présente ci-après.


Eglise Saint-Pierre - Firminy



Eglise Saint-Pierre - Firminy



Maison de la culture - Firminy



Unité d'habitation - Firminy



Unité d'habitation - Firminy



Couvent de la Tourette (Eglise) - Eveux


vendredi, 07 septembre 2007

Partition Tableau Façade

Qui saura reconnaître la partition et le tableau dissimulés dans cette façade harmonique, quoique libre (voire ondulatoire) ?


Compléments du 9 septembre :


Le couvent dominicaine de La Tourette (sis sur la commune d'Eveux dans les monts du Lyonnais) est l’œuvre de Iannis Xenakis autant que celle de Le Corbusier. Le concept de façade ondulatoire doit en particulier tout au mathématicien – musicien – architecte, qui faisait alors partie de l’atelier corbuséen (les rapports entre Le Corbusier, ses chantiers et ses collaborateurs est assez intéressant à observer).
Ces façades forment une partition (largeur entre les montants verticaux, hauteurs des montants horizontaux) ; la jeune guide de La Tourette nous a affirmé qu’il s’agissait de Metastasis, ce que je suis bien en peine de confirmer.


C’est elle aussi qui a évoqué Mondrian devant d’autres façades, ce qui paraît assez plausible (notamment vu de l’extérieur, en arrière-plan de la première photographie, avec les couleurs).

mercredi, 05 septembre 2007

Trente ans après (1)

Le Corbusier partage avec Picasso le triste privilège d’être l'archétypal représentant moderne de son art, connu du plus grand nombre (je doute qu’il y ait un seul compositeur de la même notoriété).

Cette reconnaissance est dans l’ensemble plutôt à connotation négative, les deux reproches les plus couramment adressés à Corbu étant d’une part « son caractère dogmatique, totalitaire, voulant imposer aux gens des manières de vivre », et d’autre part le fait qu’ « il a engendré les cités dortoirs des années 60 et la kirielle de problèmes sociaux qui en a résulté » (ces deux assertions classiques et paresseuses sont tirées (et non corrigées) d’un blogue consacré à l’art contemporain dont la reconnaissance blogosphérique m’a toujours étonné et semblé largement surestimée). Les plus informés parmi ses détracteurs mettent en avant la monstruosité du Plan Voisin, qui proposait la destruction d’une grande partie de Paris et son remplacement par des tours, en omettant d’y voir la part d’utopie prospective, et plus encore celle de provocation contenues dans cette vision urbanistique (vision que par ailleurs je ne partage absolument pas, car fondée sur l’automobile comme moyen unique de déplacement).

Mais d’un autre côté, Le Corbusier est quasiment une idole des écoles d’architecture, qu’il convient de ne jamais remettre en cause.

Cependant, il me semble qu’un retour en grâce auprès du grand public est en train de s’opérer par la voie patrimoniale et touristique.
L’ensemble des réalisations du Corbu et de son atelier à Firminy est à cet égard un bon exemple. Je ne ferai pas d’exposé historique (vous trouverez toutes les informations nécessaires ), mais je vais simplement narrer mon expérience personnelle (c’est le propre des blogues, après tout).

Maison de la culture de Firminy

J’ai en effet passé toute mon enfance non loin de Firminy, où j’allais très régulièrement (et où j’ai passé mes années de lycée). J’ai en particulier assisté à plusieurs spectacles à la Maison de la culture (une des œuvres de Le Corbusier, la seule ici en fait qu’il a pu suivre presque entièrement), et j’y ai passé un désastreux examen de fin d’année de piano. Je n’ai jamais eu l’impression, à cette époque, d’habiter (au sens de la machine à habiter) un bâtiment remarquable, et personne ne me l’a fait apprécier, car personne ne semblait l’apprécier.
Au contraire, la Maison de la culture ou l’Unité d’habitation (sans parler des fragments de l’église) étaient englobées dans la détestation vouée au quartier, que l’on ne disait pas encore sensible, aux tours et aux barres et à l’architecture moderne.

Eglise Saint-Pierre de Firminy

L’Unité d’habitation et l’église ont échappé de peu à la désaffectation et à la démolition, avant d’être classées monuments historiques et réhabilitée (pour la première) et terminée (pour la seconde).
Cet achèvement, exceptionnel à bien des égards, est un symbole éminent de la prise de conscience collective de la valeur patrimoniale et du potentiel touristique de l’ensemble pensé là (à défaut de vraiment construit) par Le Corbusier. Le même phénomène se produit, à une échelle moindre, à la Cité Frugès de Pessac.

Des touristes, et qui plus est des touristes étrangers, et des visites guidées à Firminy-Vert, qui l’eût crû il y a trente ans !

Touriste dont je fus, pendant mes dernières vacances, trente ans après, vous l’aurez compris.

Unité d'habitation Firminy


(Mes impressions de visite dans une prochaine note)


dimanche, 02 septembre 2007

Noire, verte, jaune

Au temps de sa splendeur minière et sidérurgique, Saint-Etienne fût une ville noire. Au temps de la splendeur de l’ASSE, ce fût aussi une ville verte.
Il me semble qu’aujourd’hui, elle se transforme en une ville jaune, sous l’impulsion de ses édiles qui ont fait appel à un coloriste parisien (dont je n'ai pas retrouvé le nom) dans le cadre des ravalements décennaux obligatoires.


Essais de jaunes sur une façade de la place de l'Hôtel de Ville

Certes, la ville aux sept collines, à l’instar de Rome, a vu son plan directeur élaboré par un architecte-voyer d’origine piémontaise à la fin du XVIIIème siècle (Pierre-Antoine Dalgabio).

De là à la transformer en ville italienne ... !

samedi, 01 septembre 2007

Modeste est mère de l'Eglise

L'influence française sur la cathédrale de Strasbourg est attestée tant historiquement que stylistiquement, quoique que les apports de la Bourgogne ait été mis en avant par certains historiens allemands pour des raisons idéologiques – le dôme strasbourgeois est un lieu à la fois de passage et de confrontation. La Bourgogne ayant longtemps été rattachée au Saint Empire Romain Germanique, des racines bourguignonnes sont en effet politiquement plus correctes, dans le Reichlsand allemand, que des sources parisiennes, chartraines, sénonaises ou rémoises.

La juxtaposition de Modeste, sainte locale et légendaire sculptée au portail Nord de la cathédrale de Chartres au début du XIIIème siècle, et de l’Eglise, installée postérieurement au portail du transept sud de la cathédrale de Strasbourg, est pourtant particulièrement éclairante et guère contestable.


lundi, 28 mai 2007

Orléans, Beaugency, Notre Dame de Cléry, Vendôme, Vendôme (Chartres)

Ré-mi-do Ré-mi-do
Ré-mi-fa-mi-ré-mi-do
Mi-rééé-do Mi-rééé-do


Il y a manifestement de nombreux fils qui relient Vendôme à Chartres, à tout le moins l'abbaye de la Trinité à la cathédrale Notre-Dame, nonobstant l'appartenance du Vendômois au diocèse chartrain du temps de sa splendeur.

En premier lieu, le clocher roman de ladite abbaye fait furieusement penser à la tour Sud de la cathédrale.


Il semble en effet établi que le chef-d’œuvre chartrain soit inspiré du modèle vendômois, en le portant toutefois à un degré de perfection que ce ce dernier ne possède pas.


En second lieu, on ne peut manquer de faire le rapprochement entre Notre-Dame de la Belle Verrière, chartraine, et la Majesté Notre-Dame, vendômoise, et plus ancienne.


Cependant, la Sedes Sapientae est une figure classique de la sculpture, de la peinture et de la verrerie romanes, et il n'y a guère de raison de voir une quelconque influence de Vendôme sur Chartres en la matière.

Enfin, le maître d’œuvre de la flèche de la tour Nord ainsi que du pavillon de l'horloge et du tour du chœur de la cathédrale, Jehan Texier, dit Jehan de Beauce, est arrivé à Chartres en 1506 en provenance de Vendôme.
La tradition lui attribue la conception de la superbe façade flamboyante de l'abbaye de la Trinité.



Mes amis que reste-t'il
A ce Dauphin si gentil ?

Orléans, Beaugency, Notre Dame de Cléry, Vendôme... mais pas Chartres, plus souvent opposée au Roi de France que dans son camp !

vendredi, 04 mai 2007

Une histoire de façade[s]

Il y a pratiquement un an, et cela quelques mois après mon arrivée à Chartres, j’avais fait une tentative de reconstitution de la façade de la cathédrale romane de Chartres, avant l’incendie de 1194. Il s’agissait en fait plutôt d’une fantaisie, contrairement à la manipulation d’images à laquelle je m’étais livrée sur la façade de Strasbourg.

J’indiquais à la fin de cette note :
«Une autre tentative, peut-être, plus tard, après de profitables lectures érudites...»

Je suis actuellement en train de constituer une documentation succincte qui me permettra de proposer à mes hôtes des visites guidées sans trous de mémoire, erreurs ou embrouillaminis. A cette occasion, je me suis penché de nouveau sur la façade romane chartraine, et je pense que je suis en mesure de proposer des images plus sérieusement documentées.


Quand en 1006, Fulbert, l’un des plus grand érudits du temps, est nommé évêque de Chartres, son église-cathédrale n’a pas la dimension que requerrait la renommée du pèlerinage marial et l’accueil des nombreux pèlerins.
Aussi, quand en 1020, l’édifice est détruit par un incendie, le nouveau bâtiment, consacré en 1037, sera très imposant, puisque, tant en longueur qu’en largeur, sa taille est quasiment celle de la cathédrale actuelle.
Si l’église basse est toujours là (elle est aujourd’hui dénommée incorrectement « crypte »), nous ne savons en revanche que peu de choses sur la façade du XIe. Un clocher-porche est cependant une hypothèse probable, comme celui de l’abbaye de Saint-Benoît sur Loire, par exemple, ou encore, pour rester à Chartres, celui de l’église Saint-Père :


Près d’un siècle plus tard, en 1134, un important incendie détruit une partie de la cité. Profitant de l’espace ainsi libéré, et souhaitant offrir à leur église un porche plus moderne, digne de la renommée du sanctuaire et de son école, les chanoines et l’évêque du temps décide la construction d’une nouvelle façade, d’un style roman à son apogée, commencée par les étages inférieures des deux tours, continuée par le portail central (dit portail royal) et achevée en 1170 par l’admirable flèche de la tour Sud, la tour Nord restant quant à elle inachevée.


Peu de temps après, en 1194, un nouvel incendie détruit la cathédrale de Fulbert, couverte d’une charpente de bois, épargnant toutefois l’église basse et la façade (ainsi que la relique du voile de la Vierge, d’une façon si miraculeuse que l’on se demande si l’incendie était accidentel ou volontaire, tant la soif de modernité du tout récent style gothique étreignait le chapitre chartrain). La reconstruction commence immédiatement et sera menée tambour battant.
La décision de conserver la façade ayant été prise, il fallait cependant y apporter des modifications, d’une part pour l’adapter au goût de l’époque, et d’autre part en raison de la hauteur plus importante de la nef. Une rose (ornement gothique s’il en est), une galerie de rois et un fronton triangulaire ont donc été rajoutés au dessus du portail royal et un étage supplémentaire a été édifié sur la tour Nord pour rétablir un certain équilibre.


En 1506, les chanoines profitent de la destruction par la foudre du clocher de bois et de plomb de la tour Nord pour confier à l’architecte Jehan de Beauce la construction d’un nouveau clocher en pierre, dans un style de transition entre le gothique flamboyant et la Renaissance, « de la hauteur du clocher de pierre d’icelle église ou autre haulteur plus convenable et le plus honorable et sumptueux que faire se pourra. »


C’est à peu de choses près, et nonobstant la destruction du trumeau du portail central, la façade telle que l’on peut la voir aujourd’hui.

Viollet-le-Duc a affirmé, dit-on, que la Madeleine de Vézelay était le plus bel exemple d’harmonie entre les styles roman (la nef) et gothique (le chœur).
Cela est certes vrai, mais la façade de la cathédrale de Chartres n’est pas moins harmonieuse, quoiqu’encore plus composite.

vendredi, 02 mars 2007

Défense de Viollet-le-Duc

Il est de bon ton, aujourd’hui, de considérer avec un brin de condescendance le travail de restauration du patrimoine historique effectué au XIXe siècle par Viollet-le-Duc et ses semblables. En effet, notre époque se veut très soucieuse d’authenticité et ne jure que par la pierre d’origine, préférant ainsi le matériau à l’œuvre (pour simplifier).
Il est bien vrai que les édifices, à l’instar de la cathédrale de Chartres, qui ont eu la chance de traverser les siècles sans restauration importante produisent un effet plus fort (mais qu’en est-il de l’autosuggestion et de la réalité des choses ?)
Il est bien vrai aussi que le travail des sculpteurs modernes, quand ils se sont essayés à des pastiches de l’art roman, ne soutient guère la comparaison avec celui de leurs ancêtres médiévaux..

Prenons par exemple le tympan central de la façade de la basilique Sainte-Madeleine de Vézelay :


Celui-ci est dû en totalité à un collaborateur de Viollet-le-Duc, qui a travaillé d’après les vestiges très altérés du tympan original. Et justement, ce vestige est visible sur un bas-côté de l’édifice.


Quoique pratiquement effacé, le tympan roman, en particulier dans les quelques drapés encore visibles, marque une supériorité évidente.












Notons en passant la désastreuse négligence des édiles et de la population vézelienne depuis la restauration de la basilique (j’ai l’impression qu’il y aurait beaucoup à dire sur le rapport complexe des habitants du village avec le monument) qui ont laissé à l’abandon et à la destruction progressive les restes du tympan et du linteau attenant.



Alors, certes, certes, Viollet-le-Duc n’est pas toujours intervenu avec le bon goût qui caractérise, à l’évidence, notre début du XXIe siècle ; il n’a certes pas respecté scrupuleusement les règles de restauration édictées 150 ans plus tard par nos meilleurs conservateurs ; mais quand il est arrivé sur la colline de Vézelay, vers 1840, missionné par Mérimée, qu’a-t-il vu ?



Une ruine sur le point de s’écrouler, n’intéressant personne si ce n’est en tant que potentielle carrière de pierre.

Et à force d’un travail acharné, il a rendu la vie à ce monument majeur de l’humanité.


Alors, il me semble que l’on peut lui dire merci.