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lundi, 24 septembre 2007

Un tramway nommé Désiré

Pour faire suite à une conversation tenue sur le parvis de l'opéra Bastille, vendredi soir dernier :


Et en souvenir d'un temps où ce tramway miniature était le seul qui fonctionnait sans problème à Bordeaux.

dimanche, 23 septembre 2007

Une image de Chartres de temps en temps (55) - Fête de la lumière 2007 (1)

Pour éviter de devenir fous, ou de haïr définitivement Haendel (Every valley shall be exalted à tue-tête pendant cinq heures de rang sans aucune possibilité d’y échapper dans aucune des pièces de l’appartement, peut certainement vous dégoûter du Messie ! ), nous avons fait hier soir une longue virée dans Chartres à l’occasion de la Fête de la lumière 2007, qui clôt l’opération Chartres en lumière, et marque par là même le retour à leur état normal de nombreux monuments (dont la cathédrale).

En prélude à une série de photos floues, le portail Nord dans ses derniers habits de lumières (ou son patchwork de barbouillages, comme vous voulez).



samedi, 22 septembre 2007

La délivrance inutile (Ariane et Barbe-Bleue)


Si je dois à Maeterlinck l’un de mes plus marquants souvenirs de théâtre (Intérieurs mis en scène par Claude Régy), je suis en revanche assez imperméable au symbolisme assez lourd et à la poésie assez épaisse de nombre de ses œuvres.

Rédigé aux temps où la psychanalyse commence à étendre son emprise (de l’interprétation des rêves à, beaucoup plus tard, la psychanalyse des contes de fées), Ariane et Barbe-Bleue (ou la délivrance inutile (curieuse référence à Marivaux Beaumarchais (à moins que Maeterlinck ne soit un joyeux drille amateur de jeux de mots (la Barbe bleue du Barbier de Séville (les prénoms des cinq filles d’Orlamonde se prêtent d’ailleurs facilement au calembour))))) est un texte surchargé d’images sentencieuses qui le rendent bien moins subtil que Pelléas et Mélisande (pour ce qui est, en tous les cas, du livret de l’opéra de Debussy, qui a largement retravaillé l’œuvre originale, semble-t-il).
Qu’y a-t-il à tirer comme enseignement ou interprétation de cette fable souvent proche de la boursouflure ? D’Ariane, sûre d’elle même et voulant imposer sa vérité aux autres (mais y renonçant in extremis) ou des cinq recluses quittant à regret leur geôle où pourtant elles pleuraient (mais renonçant à la fin à tenter l’aventure de l’inconnu et à abandonner Barbe-Bleue), qui détient la morale de l’histoire ? Il y aurait certainement à approfondir, autour de la transgression, de la soumission et de la tentation, ces deux phrases prononcées par Ariane au début du premier acte :

« D’abord, il faut désobéir ; c’est le premier devoir quand l’ordre est menaçant et ne s’explique pas. »
« Tout ce qui est permis ne nous apprendra rien. »

Mais peut-être qu’au fond, l’ultime transgression, c’est de ne pas transgresser, quand la transgression est devenue sans danger, voire la norme (selon une classique spirale bathmologique).

La musique de Paul Dukas est, à la première audition, plus illustrative que symbolique (les oiseaux, le tremblement des murs…), et d’une richesse orchestrale qui la rend très plaisante à écouter, à défaut d’être vraiment le grand chef-d’œuvre oublié de l’opéra français annoncé (l’ouverture des portes ne soutient pas la comparaison avec celle de Bartok dans le Château de Barbe-Bleue). Zvezdo nous en dira certainement plus, mais pour ma part, si j’entends bien l’influence de Wagner, celle de Debussy (au-delà de l’anecdote de la citation sur le nom de Mélisande) me paraît plus ressortir à la musique française de l’époque en général, plutôt qu’à un compositeur particulier.

Belle direction de Sylvain Cambreling, intéressante mise en scène d’Anna Viebrock (1er acte réussi, mais beaucoup de scènes des deuxièmes et troisièmes actes inabouties ou sans idée), bonne distribution (mais que le haut de la tessiture de Déborah Polaski est laid).


21 septembre 2007 Opéra Bastille – Ariane et Barbe-Bleue – Livret de Maurice Maeterlinck, Musique de Paul Dukas – Orchestre et Choeurs de l'Opéra national de Paris, Direction musicale Sylvain Cambreling, Mise en scène, décors et costumes Anna Viebrock, Lumières David Finn, Réalisation vidéo Till Exit, Dramaturgie Malte Ubenauf, Chef des choeurs Peter Burian – Barbe-Bleue Willard White, Ariane Deborah Polaski, La nourrice Julia Juon, Sélysette Diana Axentii, Ygraine Iwona Sobotka, Mélisande Hélène Guilmette, Bellangère Jaël Azzaretti

vendredi, 14 septembre 2007

La carpe et le lapin

[…]
La gratuité des musées nationaux fait partie des engagements du projet présidentiel. Si elle est possible et réussie ailleurs, on ne voit pas pourquoi elle ne le serait pas en France. Celle-ci faisant toutefois l'objet de débats au sein du monde de la culture, vous conduirez d'abord une expérimentation de la gratuité avec un échantillon d'établissements, sans perte de recettes pour les musées concernés. Son objet sera d'en mesurer toutes les conséquences et de déterminer les conditions de réussite de sa généralisation.
[…]
Vous étudierez la pertinence de l'organisation des commandes d'art (FNAC et FRAC) et engagerez une réflexion sur la possibilité pour les opérateurs publics d' aliéner des œuvres de leurs collections, sans compromettre naturellement le patrimoine de la Nation, mais au contraire dans le souci de le valoriser au mieux.
[…]
(extrait de la lettre de mission de M. Nicolas SARKOZY, Président de la République, adressée à Mme Christine Albanel, Ministre de la Culture et de la communication)

La carpe et le lapin ne sont naturellement ni Mme Albanel, ni M. Sarkozy, mais des éléments emblématiques de la politique du gouvernement, me semble-t-il.

16:10 Publié dans Opinions | Lien permanent | Commentaires (3)

mercredi, 12 septembre 2007

Un mot d'O.

Je livre à votre réflexion cette forte pensée de Jean d'Ormesson, tirée d'un entretien figurant en dernière page du Monde de la Musique de ce mois :

De Bach à Haydn, c’est vrai qu’on descend d’un degré, mais on descend vers l’Homme et ce n’est pas si mal. Beethoven aussi, c’est moins haut que Bach.


(Ne voyez pas là une quelconque expression de mon opinion personnelle, il s'agit juste de faire bisquer mon ami Z.)


15:20 Publié dans Brève | Lien permanent | Commentaires (5)

lundi, 10 septembre 2007

Capriccio (1607 - 1942)

On ne peut probablement rêver meilleur début, pour une saison d’opéra, que Capriccio (mais toutes les maisons d’opéra ne peuvent pas, tout de même, ouvrir chaque année avec Capriccio).


Les débats policés, quoique animés, entre le poète, le compositeur et le directeur de théâtre (dans un rôle d’organisateur de spectacle et de metteur en scène), menés dans le salon distingué de la Comtesse Madeleine sont pleins d’intelligence, d’humour et d’ironie et renvoient au public lyrique ses travers, comme dans un miroir, à peine déformant. Mais ils se concluent, en définitive et malgré la mélancolie teintée d’amertume de la maîtresse de maison laissée seule pour le souper, par l’apothéose de l’opéra, fusion de la poésie et de la musique, du théâtre et du chant. Apothéose de l’opéra straussien par là même, puisqu’il s’agit de sa dernière œuvre pour le genre (composée en 1941-1942).

Prima la musica o prima le parole : cette controverse nous vient de loin (fort probablement dès lors que l’on a chanté des textes sacrés) et une de ses occurrences a conduit, au début du XVIIe siècle à Florence, au sein de la camerata Bardi, à la création de l’opéra. Il s’agissait, pour ces intellectuels florentins, d’affirmer la primauté du sens sur la beauté sonore, à une époque où les excès de la polyphonie rendaient inintelligibles la poésie, qu’elle fut profane ou sacrée (que l’on songe à certain motet à quarante voix de Thomas Tallis). La monodie accompagnée et les premiers opéras, au sens moderne du terme, qui en résultèrent, s’ils furent alors révolutionnaires, nous paraissent bien pauvres aujourd’hui et il a fallu qu’un génie musical s’en mêle pour qu’un premier chef-d’œuvre émerge de cette démarche littéraire et passablement théorique.
En 1607 en effet, Monteverdi propose à la cour de Mantoue son Orfeo, qui laisse loin derrière lui les premières tentatives de Peri et Caccini.

Après ce premier coup de maître dans l’alliance du théâtre et du chant, le genre de l’opéra ne cessera d’alterner des périodes de désaffection pour le texte et de retour en grâce (de Gluck à Wagner et Debussy). En versant dans une certaine forme de pessimisme, l’on pourrait bien considérer que Capriccio constitue le pendant de l’Orfeo, le dernier souffle d’une forme d’art arrivé à épuisement, une mise en abyme, tant dans le livret que dans la partition, de toute l’histoire du théâtre lyrique, et ce en pleine seconde guerre mondiale, au milieu de l’Allemagne nazie.

Car comment faire abstraction du contexte historique de la composition, quand on assiste à une représentation de Capriccio, sans pour autant que ce contexte n’envahisse le sens et la scène de façon exagérée ?
Robert Carsen, à Garnier, dans une production en train de devenir un classique du lieu (et qui est d’ailleurs complètement inexportable), se contente de l’évoquer par la silhouette du chauffeur de Mademoiselle Clairon, comme un rappel d’un officier de la Wehrmacht ou de la Waffen SS.

Mais il y a peut-être plus subtil, et plus profond.

En effet, tout la mise en scène de Carsen est construite sur une vertigineuse mise en abyme de l’opéra Garnier lui-même, et tout spécialement du foyer de la Danse, reproduit en second plan pendant les premières scènes, puis ensuite en premier plan (dans un effet cinématographique de zoom) et en trompe-l’œil dans un miroir, et apparaissant enfin en réalité au fond de la scène.
Or, de quoi s’agit-il ? Si le foyer de la danse a été conçu officiellement comme une salle de répétition du corps de ballet, il était en vérité le lieu où les dignes représentants de la haute bourgeoisie et l’aristocratie venaient se payer leurs danseuses (une sorte de marché aux bestiaux).
Il me semble que l’on pourrait voir (entre autres, tant le travail de Carsen est riche et intelligent) dans l’utilisation de cet endroit emblématique comme une – discrète – allégorie de l’asservissement de l’art et des artistes au pouvoir et aux puissants (et ainsi à la situation même de Richard Strauss, passablement ambigüe pendant le troisième Reich).


8 septembre 2007 – Opéra Garnier – Capriccio – Richard Strauss – Die Gräfin Solveig Kringelborn – Der Graf Olaf Bär – Flamand Charles Workman – Olivier Tassis Christoyannis – La Roche Jan-Hendrik Rootering – Die Schauspielerin Clairon Doris Soffel – Eine Italienische Sängerin Elena Tsallagova – Ein Italienischer Tenor Juan Francisco Gatell – Monsieur Taupe Robert Tear – Der Haushofmeister Jérôme Varnier – Acht Diener Jason Bridges, Igor Gnidii, Mihajlo Arsenski, Etienne Dupuis, Bartlomiej Misiuda, Johannes Weiss, Vincent Delhoume, Mark Richardson – Orchestre de l'Opéra national de Paris – Direction musicale Hartmut Haenchen – Mise en scène Robert Carsen – Décors Michael Levine – Costumes Anthony Powell – Lumières Robert Carsen et Peter Van Praet – Chorégraphie Jean-Guillaume Bart


Vous trouverez ici (tant que le lien est valable) une image caractéristique du spectacle, qui permettra d'illustrer mon propos.

vendredi, 07 septembre 2007

Partition Tableau Façade

Qui saura reconnaître la partition et le tableau dissimulés dans cette façade harmonique, quoique libre (voire ondulatoire) ?


Compléments du 9 septembre :


Le couvent dominicaine de La Tourette (sis sur la commune d'Eveux dans les monts du Lyonnais) est l’œuvre de Iannis Xenakis autant que celle de Le Corbusier. Le concept de façade ondulatoire doit en particulier tout au mathématicien – musicien – architecte, qui faisait alors partie de l’atelier corbuséen (les rapports entre Le Corbusier, ses chantiers et ses collaborateurs est assez intéressant à observer).
Ces façades forment une partition (largeur entre les montants verticaux, hauteurs des montants horizontaux) ; la jeune guide de La Tourette nous a affirmé qu’il s’agissait de Metastasis, ce que je suis bien en peine de confirmer.


C’est elle aussi qui a évoqué Mondrian devant d’autres façades, ce qui paraît assez plausible (notamment vu de l’extérieur, en arrière-plan de la première photographie, avec les couleurs).

jeudi, 06 septembre 2007

I have a dream

La prise de pouvoir de la psychanalyse, au début du XXe siècle, a fait basculer définitivement l’interprétation des rêves du côté de l’intime et de l’introspection, alors que pendant des siècles, et à tout le moins pendant le Moyen-âge, le songe fut un moyen d’expliquer le monde et ses mystères, de prédire le futur ou de deviner le passé.
Dans un contexte théologique, la Bible et la vie des Saints fourmillent de rêves, permettant la médiation de l’homme et de Dieu (ou du Diable), sous une forme peut-être plus acceptable pour le quidam que de véritables apparitions.

C’est ainsi que les vitraux de la cathédrale de Chartres nous montrent de nombreux dormeurs (notons cependant immédiatement que les concepteurs du programme de la vitrerie chartraine n’ont guère versé dans la rêverie légendaire et fantastique, se concentrant sur leurs objectifs théologiques et politiques).

A tout seigneur, tout honneur, Charlemagne est enjoint, dans un songe, par Saint Jacques de délivrer son tombeau à Compostelle.


Dans la même verrière, Charlemagne de songeur devient songé, puisqu’il apparaît à l’empereur byzantin Constantin, lui annonçant son aide contre les sarrasins.


Des bons rois (selon l’Eglise), passons aux mauvais rois dans le vitrail de Saint Etienne. Le mauvais roi songe en effet au Diable.


Du vitrail et des rois à la sculpture et aux mages, ou aux rois mages, avertis en songe, au portail Nord, de ne pas retourner vers Hérode.


S’il est un homme aux songes dans la Bible, c’est bien Joseph, le fils de Jacob. Dans le vitrail qui lui est consacré (en tant que préfigurateur de Jésus), le songe aux étoiles est figuré (11 étoiles, la lune et le soleil).


Mais c’est surtout comme interprète des rêves d’autrui qu’il est représenté, tout d’abord ceux des serviteurs de Pharaon…


...puis celui de Pharaon lui-même.


Bien entendu des saints locaux sont aussi honorés. Tout d’abord Saint Savinien, légendaire évêque de Sens, auquel apparaissent en songe Saint Pierre et Saint Paul.


Et puis évidemment le célèbre Saint Martin de Tours, auquel apparaît le Christ.


Mais il est un autre dormeur, dans les images de Chartres. C’est Jessé, du flanc duquel sort l’arbre portant les rois de Juda et, au sommet, le Christ.


Il s’agit là bien sûr du célèbre arbre de Jessé illustrant à la fois la prophétie d’Isaïe (Un rameau sortira de la souche de Jessé, / un rejeton jaillira de ses racines. / Sur lui reposera l'esprit du Seigneur ) et la généalogie du Christ de l’évangile selon Saint Matthieu.



Mais alors, le Christ, et le christianisme par conséquent, ne serait donc qu’un songe de Jessé ?

mercredi, 05 septembre 2007

Trente ans après (1)

Le Corbusier partage avec Picasso le triste privilège d’être l'archétypal représentant moderne de son art, connu du plus grand nombre (je doute qu’il y ait un seul compositeur de la même notoriété).

Cette reconnaissance est dans l’ensemble plutôt à connotation négative, les deux reproches les plus couramment adressés à Corbu étant d’une part « son caractère dogmatique, totalitaire, voulant imposer aux gens des manières de vivre », et d’autre part le fait qu’ « il a engendré les cités dortoirs des années 60 et la kirielle de problèmes sociaux qui en a résulté » (ces deux assertions classiques et paresseuses sont tirées (et non corrigées) d’un blogue consacré à l’art contemporain dont la reconnaissance blogosphérique m’a toujours étonné et semblé largement surestimée). Les plus informés parmi ses détracteurs mettent en avant la monstruosité du Plan Voisin, qui proposait la destruction d’une grande partie de Paris et son remplacement par des tours, en omettant d’y voir la part d’utopie prospective, et plus encore celle de provocation contenues dans cette vision urbanistique (vision que par ailleurs je ne partage absolument pas, car fondée sur l’automobile comme moyen unique de déplacement).

Mais d’un autre côté, Le Corbusier est quasiment une idole des écoles d’architecture, qu’il convient de ne jamais remettre en cause.

Cependant, il me semble qu’un retour en grâce auprès du grand public est en train de s’opérer par la voie patrimoniale et touristique.
L’ensemble des réalisations du Corbu et de son atelier à Firminy est à cet égard un bon exemple. Je ne ferai pas d’exposé historique (vous trouverez toutes les informations nécessaires ), mais je vais simplement narrer mon expérience personnelle (c’est le propre des blogues, après tout).

Maison de la culture de Firminy

J’ai en effet passé toute mon enfance non loin de Firminy, où j’allais très régulièrement (et où j’ai passé mes années de lycée). J’ai en particulier assisté à plusieurs spectacles à la Maison de la culture (une des œuvres de Le Corbusier, la seule ici en fait qu’il a pu suivre presque entièrement), et j’y ai passé un désastreux examen de fin d’année de piano. Je n’ai jamais eu l’impression, à cette époque, d’habiter (au sens de la machine à habiter) un bâtiment remarquable, et personne ne me l’a fait apprécier, car personne ne semblait l’apprécier.
Au contraire, la Maison de la culture ou l’Unité d’habitation (sans parler des fragments de l’église) étaient englobées dans la détestation vouée au quartier, que l’on ne disait pas encore sensible, aux tours et aux barres et à l’architecture moderne.

Eglise Saint-Pierre de Firminy

L’Unité d’habitation et l’église ont échappé de peu à la désaffectation et à la démolition, avant d’être classées monuments historiques et réhabilitée (pour la première) et terminée (pour la seconde).
Cet achèvement, exceptionnel à bien des égards, est un symbole éminent de la prise de conscience collective de la valeur patrimoniale et du potentiel touristique de l’ensemble pensé là (à défaut de vraiment construit) par Le Corbusier. Le même phénomène se produit, à une échelle moindre, à la Cité Frugès de Pessac.

Des touristes, et qui plus est des touristes étrangers, et des visites guidées à Firminy-Vert, qui l’eût crû il y a trente ans !

Touriste dont je fus, pendant mes dernières vacances, trente ans après, vous l’aurez compris.

Unité d'habitation Firminy


(Mes impressions de visite dans une prochaine note)


mardi, 04 septembre 2007

Le mystère du quadrilatère carnute