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lundi, 04 septembre 2006

Faire-part

J'ai le plaisir de vous annoncer (subrepticement, je ne suis pas sûr qu'il apprécie la publicité), la création du blogue de croquis de Philippe (pas moi, mon pays) : le croquis de côté.

Vous avez déjà pu voir ses dessins ; ils illustraient plusieurs de mes notes vénitiennes.

Il aura évidemment droit à un traitement de faveur ici : le croquis de côté sera le seul lien de la catégorie Magnificat.

vendredi, 28 juillet 2006

En passant par le Hasard...

...j'ai pris ce cliché, et je dédicace ce billet à Si par hasard.




jeudi, 27 juillet 2006

Les deux vénitiennes

C'est remarquable, et c'est .

mercredi, 19 juillet 2006

Des ruptures

Je n'attache pas plus d'importance qu'il ne le mérite à mon blogue, et notamment je suis conscient qu'il donne de moi une image passablement déformée (je ne lis pas que Renaud Camus, que je ne prends pas pour mon maître à penser, je ne suis pas un homosexuel d'extrême droite, je ne crois pas en Dieu, je suis assez peu conservateur, je n'écoute pas que de la musique classique, je lis des bandes dessinées et des romans policiers, je suis amateur de corridas...).
Je ne peux m'empêcher, cependant, de ressentir un peu de vanité lorsque je découvre qu'un blogueur que j'apprécie a placé L'Esprit de l'escalier dans sa liste de liens, et un peu de chagrin lorsque qu'il en est supprimé.
D'autant plus que, contrairement à Tlön et Monsieur G, la raison m'en est inconue, la plupart du temps.

mardi, 28 mars 2006

Escalier


A tous ceux qui arrivent sur ces pages par le biais d’une recherche sur «escalier», je présente mes excuses pour le peu d’information que j’ai à leur offrir à ce sujet.


Quant aux requêtes sur «Bach» ou «Venise» qui aboutissent sur ce blogue, j’espère que les quelques minutes passées à la lecture des textes ainsi trouvés auront été agréables, à défaut d’être instructives.
Et enfin, je suis vraiment désolé de n’avoir quasiment aucune gougueuleries amusantes à proposer à mes lecteurs pour les divertir (peintre pédéraste, caresses escalier étant ce qui s’en approcherait le plus), état de fait probablement symptomatique du trop grand sérieux qui règne ici.