Bach, seul (à venir)
![[]](http://m3.moostik.net/img/?pseudo=espritescalier&data=live&option=invisible)
« Le pot d'or est toujours debout | Page d'accueil | Oh ! les beaux masques »
samedi, 13 août 2005
Celui avec les inhibitions
Où l'on essaie d'être moins introverti
et où l'on y parvient peut-être par des chemins détournés
J'aurais aimé avoir écrit "il est mon pays", et plus encore lui avoir dit.
16:40 Publié dans Trop intime | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
Belle déclaration, en effet. Comme toi, j'aurais aimé savoir le dire (et, une part de moi-même aurait encore préféré qu'on me le dise... mais ça c'est une autre histoire).
A propos de ces formules qu'on regrette de na pas avoir trouvées soi-même, ton billet me fait penser à la phrase d'André Breton à propos du village de Saint-Cirq-Lapopie dans le Lot, où il s'est installé après avoir découvert ce magnifique lieu et écrit : "J'ai cessé de me désirer ailleurs."
Écrit par : Vrai Parisien | dimanche, 14 août 2005
Vu, l'été 1999, à Saint-Cirq Lapopie, une remarquable exposition Matta dans la maison d'André Breton. C'est un village radieux, pierreux, rocailleux, dont le charme ne peut s'éteindre. Alain Prillard, artiste auteur surtout de monotypes, y est installé.
Écrit par : Guillaume | dimanche, 14 août 2005
> Guillaume : étonnante coïncidence : c'est durant l'été 1999 (la semaine de l'éclipse, en août je crois) que j'ai découvert Saint-Cirq Lapopie (et la région). Je me souviens très bien avoir visité l'exposition à laquelle tu fais référence, dont toutefois je n'aurais su retrouver le nom de l'artiste exposant.
Écrit par : Vrai Parisien | dimanche, 14 août 2005