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vendredi, 20 avril 2007

Votez ! (J-5)

Toutes les beauceronnes et tous les beaucerons sont appelés à voter par de nombreux commerçants chartrains.















lundi, 09 avril 2007

Les marchands du temple

Médiocrité, mauvais goût, amateurisme, laideur, inculture, vulgarité : c'est le festival de Pâques de Chartres.



Bientôt : Chartres en lumières !

mercredi, 04 avril 2007

(c)(h)(a)(r)(t)(r)(e)(s)

Dans les commentaires d’une note de Fuligineuse, Charles L. signalait récemment un ouvrage de Georges Perec (in Cantatrix sopranica L., La librairie du XXe s., Seuil) dans lequel l’auteur se livre à une fantaisie sur la Beauce et Chartres (Présentation : de la Beauce à Notre-Dame de Chartres pp. 67-71).
Je sais bien que je vais me faire agonir de reproches, mais j'avoue quand même que je ne suis pas fou de Perec dont je trouve bien des textes un peu vains. C'est le cas en particulier de celui-ci que j'ai feuilleté à la FNAC Montparnasse, et dont je n'ai pas fait, pour cette raison, l'acquisition. Il m'a cependant inspiré cette fantaisie sur le nom de Chartres.

La Chartraine de Parme (Stendhal)
La Chartres des Nations Unies
La Chartruquerie de la Reine Pédauque (Anatole France)
Préparez vos mouchartres (Bertrand Blier)
Pépé le Moko à Colomb-Béchartres (Julien Duvivier)
Nous irons à Valparaiso (Marcel Achartres)
Arrêtes ton Chartres, Ben-Hur (William Wyler)
Chartrulata (Satyajit Ray)
Une vie pour le Tchartres (Glinka)


Cliquez sur l'image pour la voir en plus grand

Mortier au pilon (Renaud Machartres)
Le Chartres discret de la bourgeoisie (Luis Bunuel)
La Philosophie du non (Gaston Bachelartres)
Chartractus logico-philosophicus (Ludwig Wittgenstein)
Chartres sur un toit brûlant (Tennessee Williams)
Chartor et Pollux (Jean-Philippe Rameau)
Richartres III (William Shartrekespeare)
Le Chartreau de Seix (Renaud Camus)

lundi, 02 avril 2007

Foules

Samedi soir, gare Montparnasse (en fait, il est dimanche matin). Nous rencontrons tout d’abord une foule de policiers et de CRS entre lesquels nous slalomons pour atteindre notre train (qui pour une fois n’est pas une vieille guimbarde). Nous croisons sur le quai une foule de supporteurs des Girondins, relativement calmes, ma foi. De toutes les façons, nous avons deux forts volumes du Journal de Travers dans le sac pour nous défendre éventuellement (un coup sur la tête d’un ouvrage de 800 pages doit laisser quelques traces).
En l'absence de cris frénétiques, nous pensons que leur équipe a perdu (a perdu quoi et contre qui, je n’en sais fichtre rien). Nous apprendrons ultérieurement que les Girondins ont en fait battu l'Olympique Lyonnais en finale de la coupe de la Ligue.
Bordeaux mériterait-elle sa réputation de ville sage, voire triste, au milieu d’un Sud-Ouest exubérant ?

Dimanche matin. Je suis réveillé par les chants, tout à fait médiocres (cette soupe vaticandeusesque est vraiment à des années lumières de la Johannes-Passion de Bach ), de la foule des marcheurs du pèlerinage étudiant de Chartres, inspiré par Charles Péguy, une plaque commémorative apposée sur un pilier du sanctuaire en témoigne. Si les deux à trois mille pèlerins suivent plusieurs itinéraires différents dans la plate Beauce, ou dans la vallée de l’Eure, ils se rassemblent avant d’arriver à la cathédrale et passent tous dans ma petite rue résonnante.


La foule des prêtres attend devant la porte

lundi, 12 mars 2007

Trois fois deux flèches

Après le double regard de la belle verrière, hier, ce sont les flèches qui font une triple apparition – du symbole à la réalité en passant par l'image – dans cette photographie que m'a envoyée Patrick, un lecteur chartrain.



Vous noterez dans ce remarquable cliché un autre triplet d'objet double : deux arbres, deux cheminées, deux fenêtres.

07:30 Publié dans Chartres | Lien permanent | Commentaires (1)