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dimanche, 21 janvier 2007

Une image de Chartres par semaine (26) - Labyrinthe, chaises et détails

Le fameux labyrinthe de la cathédrale de Chartres n'est visible dans son intégralité que pendant l'été, tous les vendredis, lorsque les chaises sont rangées sur les côtés. Il est alors envahi par les touristes.







dimanche, 14 janvier 2007

Une image de Chartres par semaine (25) - Deux anges à la porte






















La porte cochère de l'hôtel de Champrond, actuel évêché de Chartres, est encadrée par deux anges d'allure archaïque. "Oh ! ", semblent-ils dire, étonnés sans doute par l'avarice de l'occupant des lieux - non pas l'évêque, occupant actuel, mais le président de Champrond, propriétaire au XVIIe siècle, qui aurait inspiré Molière, dit-on, pour le personnage d'Harpagon.

dimanche, 07 janvier 2007

Une image de Chartres par semaine (24) - Vie et mort des bougies

Avant la flamme, pendant la flamme, après la flamme.





vendredi, 05 janvier 2007

C'est fini !




Voilà, la semaine dernière, nous avons assisté au dernier épisode de l’Homme qui danse de, avec, par Philippe Caubère (et sa mère, et madame Colomer, et Ariane Mouchkipiline, et…, et…).
Après six soirées, auquelles nous avons été bien inspirés d’assister dans l’ordre, pour apprécier la construction d’ensemble, les références, et la profondeur des mises en abîmes, c’est avec une sorte de déchirement que nous quittâmes la salle une dernière fois, d’autant plus qu’il est à peu près certain que Philippe Caubère ne reviendra plus à l’exercice – certes, il a annoncé un Epilogue en septembre, et je veux y croire, mais je ne peux m’empêcher d’avoir de forts doutes.

J’avais écrit, après le premier épisode, que l’entreprise titanesque de l’Homme qui danse, et du Roman d’un acteur, n’était pas exempte d’écueils. En fait, Caubère les évite, car d’une part il s’agit là d’un véritable texte, et même d’un texte très écrit, assez loin donc de l’improvisation initiale ; et d’autre part il n’est pas vraiment question d’une autobiographie, mais bien plus d’une écriture à partir d’éléments autobiographiques, pleine de folie et d’imagination.

Aboutissement, quintessence, synthèse, ce sixième épisode, Ferdinand, met aussi en évidence une qualité primordiale du spectacle, sous-jacente partout ailleurs, mais plus ou moins cachée sous le rire et le délire : à savoir l’émotion, qui envahit le spectateur tout au long de la dernière scène, qui mêle le tournage de Molière et l’agonie de la mère, et qui culmine sur les derniers mots du fils « Maman ! Maman ! tu es là ? ».

Qualité primordiale au point que la seule faiblesse de ces dix-huit heures de spectacle se situe pour moi dans la deuxième partie (Le Mépris) du quatrième épisode, Avignon, en raison précisément de l’absence d’émotion et de tendresse pour les personnages. Au contraire, c’est la détestation de Caubère pour ces gens qui ont conspué Vilar en 1968 à Avignon, et ce qu’ils sont devenus par la suite, que l’on ressent, et c’est assez désagréable.

Un petit clin d’œil pour terminer :


C’est Tintin au Tibet qui servait de support rigide au texte que suivait la souffleuse-productrice de Philippe Caubère, assise au premier rang tous les soirs.

Bravo, et merci.

lundi, 01 janvier 2007

2007

Janvier aux trois visages vous souhaite une bonne année 2007.


Vitrail du zodiaque et des travaux des mois (détail)
Cathédrale de Chartres