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dimanche, 25 novembre 2007

Une image de Chartres de temps en temps (57) - Les derniers feux du portail nord

Avant un déménagement du portail nord au portail sud qui s'annonce particulièrement laborieux (et qui annonce une interruption momentanée de ce blogue (qui était encore en activité, quoique fort réduite)), une dernière image du soleil hivernal se couchant sous le porche nord de la cathédrale.



Les lumières du crépuscule auront été, durant cette année et demie passée sous le regard des statues du septentrion chartrain, un véritable enchantement, dont je garderai certainement la nostalgie.

A bientôt !

mercredi, 14 novembre 2007

Mises à jour...


... des listes de spectacles :

2007/2 et
2008/1

samedi, 10 novembre 2007

Vélo à tous les étages

Séance de rattrapage (2).


A Eindhoven, il n'y a ni Vélib, ni Vélov, ni aucune autre élucubration technologico-technocratico-mobilierurbanico-municipale, mais il y a, comme dans tous les Pays-Bas, des vélos dans les rues, des pistes cyclables utilisées par des vélos, des endroits où stationner son vélo, des automobilistes qui, contraints et forcés, respectent les vélos...

...et des boutiques qui vendent des vélos sur trois étages.


Eindhoven - Octobre 2007


mardi, 06 novembre 2007

Une image de Chartres de temps en temps (56) - Fête de la lumière 2007 (2)

Séance de rattrapage (1).



Photos floues promises, photos floues dues.

Quoique je sois très peu favorable aux illuminations colorées qui fleurissent un peu partout dans les villes françaises (je suis même assez peu favorable au simple éclairement nocturne des bâtiments), je suis bien obligé de reconnaître que Chartres en lumières, et la Fête de la lumière, qui en constitue son apogée fin septembre, sont d’une qualité certaine.
Certes, il y a nombre de projections relevant du simple barbouillage, ou de la pure tautologie. Je ne vois en effet vraiment pas l’intérêt d’utiliser une façade d’église en tant que simple écran pour afficher une peinture ou un vitrail.

Mais à côté de cela, beaucoup d’idées sont très belles, voire poétiques. Ce sont elles qui sont naturellement les plus difficiles à rendre !


Façade occidentale de la cathédrale



Théâtre de Chartres



Médiathèque (ancien hôtel des Postes)



Eglise Saint Pierre



Hôtel de Montescot (hôtel de ville)





Les bords de l'Eure



Lavoirs au bord de lEure





Jardins de l'ancien évêché




Chartres en lumières - Fête de la lumière - 22 septembre 2007

samedi, 03 novembre 2007

Séances de rattrapage

La caractéristique principale de l’esprit d’escalier n’étant pas la réactivité, je n’aurai guère de scrupules à vous proposer dans les prochains jours quelques notes parfaitement inactuelles (s’agissant de mon actualité, et de l’actualité culturelle), sous forme de séances de rattrapage, avant une probable nouvelle interruption en raison d’une traversée de transept avec armes et bagages.

vendredi, 02 novembre 2007

Abs[traction] ? Abs[urdité] !

Ce matin, par la grâce de Sylvie Valayre et, surtout, par celle de Franck Ferrari, France Musique s’était muée en Rires et Chansons.
Cependant, ce n’est pas cela qui m’a fait bondir dans ma salle de bain, mais la recension, dans la revue de presse, de l’article du Nouvel Observateur consacré par Jacques Drillon à deux interprètes des Variations Goldberg (Zhu Xiao-Mei et Simone Dinnerstein).
Je suis retourné à la source pour vous livrer cette perle de la plus belle eau, malheureusement ressortissant aux clichés les plus éculés :

« Elle [Simone Dinnerstein] laisse passer des sentiments qui semblaient étrangers à cette musique, la plus abstraite du monde : la tristesse, la tendresse, et même la compassion. »
(c’est moi qui souligne)

Je pense qu’il faut être sourd, et fort sot, pour confondre ainsi la prodigieuse intelligence et la complexité de la construction de l’œuvre avec une quelconque abstraction (de façon générale, à part dans l'Art de la Fugue, et encore, Bach est vraiment très loin de toute abstraction).



L’écoute, par exemple, de la variation 25, si sensible, si frémissante, si tendre et douloureuse à la fois suffit, s’il en était besoin, à dissiper l’image d’un pur esprit imaginant in abstracto de savantes constructions musicales théoriques.


Variation Goldberg XXV par Tatiana Nikolaeva (Live in Stockholm)


15:20 Publié dans Bach | Lien permanent | Commentaires (1)

jeudi, 01 novembre 2007

Excuses, raisons, échappatoires, motifs, circonstances atténuantes, justifications, allégations, mobiles, causes, légitimes défenses, origines, prétextes, et autres fariboles et billevesées





et cela ne va pas s'arranger avec le prochain déménagement.