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samedi, 26 janvier 2008

Attali - Tragédie tirée de l'Ecriture automatique (extraits)

Attali (Acte 2 scène V)
Je jouissais en paix du fruit de la croissance,
Mais un trouble importun vient, depuis quelques jours,
De mes prospérités interrompre le cours.
Un songe (me devrais-je inquiéter d'un songe?)
Entretient dans mon cœur un chagrin qui le ronge.
Je l'évite partout, partout il me poursuit.
C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit.
François Mitterrand devant moi s'est montré,
Comme au jour de sa mort pompeusement paré.
Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté ;
Même il avait encor cet éclat emprunté
Dont il eut soin de peindre et d'orner son visage,
Pour réparer des ans l'irréparable outrage.
"Tremble, m'a-t-il dit, fils indigne de moi;
Le cruel Dieu des Socialistes l'emporte aussi sur toi.
Je te plains de tomber dans ses mains redoutables [...]"

Mathan (Acte 2 scène V)
Ce songe et ce rapport, tout me semble effroyable

Nabal (Acte 3 scène III)
Mais que veut Attali en cette occasion?
D'où naît dans ses conseils cette confusion?
Par l'insolent Hollande ce matin offensé,
Et d'un enfant Royal en songe menacé,
Il allait immoler le Département à son courroux,
Et dans ce temple enfin placer Carla et vous.
Vous m'en aviez déjà confié votre joie,
Et j'espérais ma part d'une si riche proie.
Qui fait changer ainsi ses vœux irrésolus?

mardi, 01 janvier 2008

Jauchzet, frohlocket auf, preiset die Neujahrstage




Bonne année 2008, pleine de musiques et de vitraux.