jeudi, 03 juillet 2008
De retour...







... le 10 juillet.
(images de l'année dernière)
20:16 Publié dans Aix en Provence, Voyage | Lien permanent | Commentaires (2)
mardi, 24 juillet 2007
Je me souviens de la place d'Albertas
Je me souviens que la place d'Albertas était dans un triste état. Mais je me souviens que la place d'Albertas était à l'écart des flux touristiques.
Je me souviens que Madame le Juge Elisabeth Massot, interprétée par Simone Signoret, habitait place d'Albertas.

Yin et Yang sur la place d'Albertas en cours de restauration
Je ne me souvenais pas que la place d'Albertas était en fait un pur décor pour l'hôtel d'Albertas
Aix en Provence 21 juillet 2007
Je me souviens que Madame le Juge Elisabeth Massot, interprétée par Simone Signoret, habitait place d'Albertas.

Yin et Yang sur la place d'Albertas en cours de restauration
Je ne me souvenais pas que la place d'Albertas était en fait un pur décor pour l'hôtel d'Albertas
Aix en Provence 21 juillet 2007
21:00 Publié dans Aix en Provence, Images sans prétention, Voyage | Lien permanent | Commentaires (3)
lundi, 11 juin 2007
Miséricordes
Les stalles de l'église de la Trinité de Vendôme sont munies de miséricordes sculptées au XVe siècle, représentant des sujets divers de la vie quotidienne.
Mais que peuvent donc bien faire ces deux personnages ?

Mais que peuvent donc bien faire ces deux personnages ?

08:00 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (4)
vendredi, 08 juin 2007
Le Soleil et la Lune ont rendez-vous avec le Christ
La religion chrétienne a, dès ses débuts, intégré dans la liturgie un grand nombre des idoles et références culturelles préexistantes, même si elle en a combattu d’autres, à l’instar de l’ours qu’elle a fini par vaincre.
C’est ainsi que le soleil et la lune, imprégnant l’imaginaire de toutes les civilisations, ont été recyclés de diverses manières. La date de naissance du Christ a ainsi été fixée au voisinage du solstice d’hiver qui voit la renaissance du soleil. La vierge Marie, dans l’apocalypse de Jean, apparaît comme une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête (Ap. 12-1).
Dans l’iconographie, le soleil ou la lune, portés par des anges symbolisent régulièrement la résurrection. A Chartres, les deux clochers portent à leur sommet, l’un, au nord, un soleil (le Christ), l’autre au sud, une lune (la Vierge).
Je n’avais en revanche jamais vu, jusqu’à présent, le soleil et la lune représentés en tant que personnages, tant cela me semblait relever du polythéisme.
C’est pourtant ce que l’on voit très clairement sur les peintures murales romanes, datées de la fin du XIIe siècle, de l’église Saint-Jacques-des-Guérets, sur la rive gauche du Loir, en face de Troo.

Le registre inférieur de la crucifixion est occupé classiquement par la vierge Marie et l’apôtre Jean (Femme, Voici Ton Fils, Fils Voilà Ta Mère), alors que le registre supérieur présente le soleil et la lune.
Les deux astres font le geste de se voiler la face devant la mort du Christ.
On notera cependant qu’aucune expression extérieure de la douleur n’apparaît dans cette scène, et qu’il s’agit plutôt ici de mettre le sacrifice de Jésus dans une perspective d’espérance de la résurrection et du salut de l’homme. Le dolorisme et la représentation du crucifié en tant que cadavre sont plus tardifs.

Sol

Luna
Survivance des cultes anciens du Soleil et de la Lune ? Liberté d’un artiste local ? Dans tous les cas, il s’agit d’une œuvre étonnante.
C’est ainsi que le soleil et la lune, imprégnant l’imaginaire de toutes les civilisations, ont été recyclés de diverses manières. La date de naissance du Christ a ainsi été fixée au voisinage du solstice d’hiver qui voit la renaissance du soleil. La vierge Marie, dans l’apocalypse de Jean, apparaît comme une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête (Ap. 12-1).
Dans l’iconographie, le soleil ou la lune, portés par des anges symbolisent régulièrement la résurrection. A Chartres, les deux clochers portent à leur sommet, l’un, au nord, un soleil (le Christ), l’autre au sud, une lune (la Vierge).
Je n’avais en revanche jamais vu, jusqu’à présent, le soleil et la lune représentés en tant que personnages, tant cela me semblait relever du polythéisme.
C’est pourtant ce que l’on voit très clairement sur les peintures murales romanes, datées de la fin du XIIe siècle, de l’église Saint-Jacques-des-Guérets, sur la rive gauche du Loir, en face de Troo.

Le registre inférieur de la crucifixion est occupé classiquement par la vierge Marie et l’apôtre Jean (Femme, Voici Ton Fils, Fils Voilà Ta Mère), alors que le registre supérieur présente le soleil et la lune.
Les deux astres font le geste de se voiler la face devant la mort du Christ.
On notera cependant qu’aucune expression extérieure de la douleur n’apparaît dans cette scène, et qu’il s’agit plutôt ici de mettre le sacrifice de Jésus dans une perspective d’espérance de la résurrection et du salut de l’homme. Le dolorisme et la représentation du crucifié en tant que cadavre sont plus tardifs.

Sol

Luna
Survivance des cultes anciens du Soleil et de la Lune ? Liberté d’un artiste local ? Dans tous les cas, il s’agit d’une œuvre étonnante.
15:01 Publié dans Peinture, Voyage | Lien permanent | Commentaires (5)
samedi, 02 juin 2007
Un amour de Zwann

11:30 Publié dans Images sans prétention, Voyage | Lien permanent | Commentaires (5)