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mardi, 08 novembre 2005

Pages

Les livres, ce qu'il déchira,
La page dévastée, mais la lumière
Sur la page, l'accroissement de la lumière,
Il comprit qu'il redevenait la page blanche.
Yves Bonnefoy

Elle a chanté, parfois incohérente, signe
Lamentable!
                  le lit aux pages de vélin,
Tel, inutile et si claustral, n'est pas le lin!
Stéphane Mallarmé


23:14 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

Yves Bonnefoy au programme cette année des Terminales L (littéraire), je suis un peu inquiète. Mon admiration pour lui ne suffit pas à me rendre capable de "l'expliquer" (sottise) à des jeunes gens de 18 ans qui devront doctement répondre à une question dans le cadre du bac !

Écrit par : samantdi | mercredi, 09 novembre 2005

lin seul
lit vide

Écrit par : guillaume | jeudi, 10 novembre 2005