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samedi, 16 juin 2007

« Marie-Aude Roux » et combe à lisier, hélas !

J’ai régulièrement brocardé ici la presse locale, mais sa proximité avec ses lecteurs et son absence de prétention ont toujours fait ma joie.
Mais quand j’ai lu ce matin dans Le Monde la critique de Mme Marie-Aude Roux consacrée au Pelléas et Mélisande du Théâtre des Champs-Elysées, j’en suis venu à regretter mes quelques piques envers l’Echo Républicain.


Je ne suis pas sûr que même Libération ou L’Equipe accepterait Mme Roux dans leur rédaction ; il faudrait sans doute qu’elle puisse expliquer cette phrase obscure :
La voix est belle, quoique un peu lourde, l'interprétation trop saine pour être sexuellement transmissible (elle parle de Jean-François Lapointe dans le rôle de Pelléas).

Pour oublier l’incompétence, l’inculture, la prétention et la suffisance de cette dame (qui n’est pas malheureusement un cas isolé dans la presse nationale), quelques titres rafraîchissants de la presse beauceronne et percheronne de ce jour :





Commentaires

Eh ! dites, les Philippe[s], ce serait pas un peu mon job que vous êtes en train de piquer, là ? C'est moi, en principe, qui relève les grosses conneries suffisantes et grotesques des journaleux (enfin, on avait dit comme ça, au début, je m'excuse, mais merde...) !

Écrit par : Didier Goux | samedi, 16 juin 2007

Et je ne dis rien des jeux de mots idiots dans les titres...

Écrit par : Didier Goux | samedi, 16 juin 2007

Non seulement cette personne est une vraie peau de vache mais en plus elle est incompétante!Lire la critique de tosca à orange...Je suis renversée par sa bêtise et sa nullité.(Je suis critique aussi...)

Écrit par : barrouquere | lundi, 19 juillet 2010

Bonjour,

A rajouter au lamentable palmarès de Madame Marie-Aude Roux, cet extrait publié dans l'édition numérique du 6 septembre 20011 à propos du concert de Ricardo Muti à Pleyel :

"Pour cette première tournée européenne depuis sa nomination en septembre 2010, le maestro a bousculé les traditions, renonçant à l'habituelle trilogie ouverture-concerto-symphonie. Une création est même à l'honneur, celle de Danza Petrificada, du compositeur Bernard Rands (né en 1934), pièce percussive flirtant avec les couleurs du Mexique, dont Muti désirait célébrer "le centième anniversaire de sa révolution" et le "deux centième anniversaire de son indépendance" - pas facile à entendre."

"Pas facile à entendre" ! Remarquable concision !!!

Écrit par : Lionel Brard | mardi, 06 septembre 2011

Madame-Quelles sont les raisons cachées qui vous font déverser tant de venin sur une de nos pianistes magnifique (H.GRIMAUD) ovationnée dans le monde entier-Vous arrive t'il de lire la presse musicale internationale-Certes NON-tant vous êtes imbue de vôtre personnalité de"" critique musicale"" que je qualifie pour ma part de nulle..++
Que vous n'aimiez pas l'expression et le jeu de Mme H. GRIMAUD c'est vôtre droit , mais de grâce utilisez un vocabulaire compatible avec
la dialectique musicale cela relèvera le niveau de vos articles-
Par contre il est évident que son intelligence,son charisme,sa beauté solaire vous sont insupportables et qu'elle est adorée par son public-

Écrit par : thenard | vendredi, 02 décembre 2011

Madame-Quelles sont les raisons cachées qui vous font déverser tant de venin sur une de nos pianistes magnifique (H.GRIMAUD) ovationnée dans le monde entier-Vous arrive t'il de lire la presse musicale internationale-Certes NON-tant vous êtes imbue de vôtre personnalité de"" critique musicale"" que je qualifie pour ma part de nulle..++
Que vous n'aimiez pas l'expression et le jeu de Mme H. GRIMAUD c'est vôtre droit , mais de grâce utilisez un vocabulaire compatible avec
la dialectique musicale cela relèvera le niveau de vos articles-
Par contre il est évident que son intelligence,son charisme,sa beauté solaire vous sont insupportables et qu'elle est adorée par son public-

Écrit par : thenard | vendredi, 02 décembre 2011

Merci pour cet article que je ne découvre qu'en 2013.

Marie-Aude Roux n'est ni critique ni journaliste. Son travail déplorable fait rire la critique musicale européenne et son poste la choque (Royaume-Uni, Allemagne, Pologne ou République Tchèque pour ne citer que ce dont j'ai fait l'expérience).
Je précise que je ne suis qu'une mélomane passionnée (cela fait 40 ans que vais au concert) et que j'écris avec l'objectivité du public. Il ne s'agit pas d'être d'accord ou non avec ses appréciations mais de signaler une imposture.

Je suis surprise du désengagement du lectorat, et qu'un journal sérieux comme Le Monde - entre autres - finance toujours sa médiocrité.
Visiblement, je ne suis pas la seule à le penser ! Cela suppose qu'il reste encore un public français pour qui l'Art compte.

La critique musicale est un exercice difficile et responsable qui répond à des règles. Ça n'est pas la pige bâclée d'une amateure qui tente de se créer une notoriété sur sa grossièreté et son effronterie. Il faut croire que si. Un bien triste exemple pour des jeunes que la critique pourrait intéresser.

Le milieu musical classique français (managers, interprètes, labels, critiques) est globalement d'accord : la critique publiée répond à 90 % à une logique promotionnelle. Information efficace pour vendre ou encourager un spectacle, talent ou enregistrement, ce qu'il en reste se doit généralement de divertir le lecteur (le conforter dans son goût, l'amuser avec des billets acerbes, parfois l'intimider ou le choquer).

M.A. Roux n'a ni l'excuse du comique ou de la critique indépendante. Malgré le mécontentement de ses destinataires, le travail mal fait est publié.
Je mets au défi n'importe qui de la remercier objectivement pour une seule de ses contributions.

Heureusement qu'il existe encore des publications sérieuses autour de la musique et des arts.

Pardonnez le ton un peu véhément de ce commentaire, je n'ai rien de personnel envers cette femme, je souhaite simplement signaler une défaillance, que même la cooptation ne devrait tolérer.

Vive la musique !

Écrit par : Catherine | samedi, 09 février 2013

C'est un peu dur mais en parcourant avec difficuté la page du Monde j'ai regretté la luminosité d'Emile Vuillermoz

Écrit par : Brunon | jeudi, 03 avril 2014