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« Une image de Chartres par semaine (34) - Art déco | Page d'accueil | 20 mars, presque le printemps »

lundi, 19 mars 2007

Un léger accès de misanthropie ratiocinante

Dans la hiérarchie des genres musicaux, il est habituel de placer au sommet le récital de lieder, au côté de la soirée de quatuor à cordes. L’on pourrait donc espérer que le public qui fait l’effort d’assister à un concert consacré entièrement à des lieder de Schumann et de Brahms, et qui ne devait guère avoir pour motivation à cela de raisons sociales ou médiatiques (comme par exemple pour un concert de Cécilia Bartoli ou une première à Bastille), soit particulièrement attentif au respect des artistes, et par là même des autres spectateurs.
Vendredi soir dernier, ce ne furent pourtant que toussotements, chuchotis, et feuilletages de livret, sans compter la ruée finale vers le vestiaire qui limita fort malencontreusement le nombre de bis.

Commentaires

Pourquoi ce subjonctif final ? (Je) ne me l'explique pas...

Écrit par : Guillaume | lundi, 19 mars 2007

Moi non plus ! (corrigé)

Écrit par : Philippe[s] | lundi, 19 mars 2007

c'est un peu le problème de Pleyel, non ? cette salle met remarquablement bien en valeur les toussotements, froissements de plastiques et autres glaviots....

Écrit par : zvezdo | lundi, 19 mars 2007

Oui, c'est vrai (mais justement, le public devrait être encore plus attentif à ne pas faire de bruit)

Écrit par : Philippe[s] | mardi, 20 mars 2007

En 1927, "L'Intransigeant" ne disait pas cela de la Salle Pleyel (Ravel, Jean Echenoz).

Écrit par : patricia | samedi, 24 mars 2007