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mardi, 02 août 2005
Mur peint, mur écrit
21:15 Publié dans Brève | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
Voilà qui résume bien l'esprit du temps : creux mais prétentieux. Dire que cet "arbre de vie" immonde a du remplacer une publicité Pastis ou Dubonnet...
Écrit par : Gauthier | mardi, 02 août 2005
mais Alechinsky, c'est pas si gonflant que Boulez...
Écrit par : MC | mercredi, 03 août 2005
c'est un Bonnefoy plutôt décevant : il a cherché à être banal, et il y est parvenu (mais au moins ce n'est pas écrit en lettres d'or comme au Trocadéro)
Écrit par : guillaume | mercredi, 03 août 2005
Bonnefoy s'est tout simplement adapté à son support: un mur. Il a sûrement cherché à être "accessible" (ce n'est pas un compliment que je lui fais).
"Le soleil y dit le même espoir malgré la mort", ce n'est pas nul, cependant.
Et Boulez n'est pas certainement pas "gonflant".
Écrit par : Philippe[s] | mercredi, 03 août 2005
comparer avec "Aux arbres" dans Du Mouvement et de l'immobilité de Douve :
"Vous qui vous êtes effacés sur son passage,
Qui avez refermé sur elle vos chemins,
Impassibles garants que Douve même morte
Sera lumière encore n'étant rien."
Écrit par : guillaume | jeudi, 04 août 2005
Tout ce que l'on compare à "Du Mouvement et de l'immobilité de Douve" ne peut qu'apparaître d'une grande banalité.
Écrit par : Philippe[s] | jeudi, 04 août 2005
certes, certes ... mais le "tout" n'est-il pas légèrement excessif ? (même limité à l'oeuvre poétique d'YB)
Écrit par : guillaume | jeudi, 04 août 2005
Je trouve ce mural très beau.
Écrit par : Guillaume | lundi, 08 août 2005
Je serais heureux de mettre quelque chose comme ça sur mon mur.
Écrit par : forex | mercredi, 15 juin 2011